Limbo
Ma plume noir serait-elle de nouveau fournie en encre rouge ? D'où viens cet encre? De mon désespoir, de mon lac mélancolique ? J'en ai fichtrement aucune idée, la seule chose qui me préoccupe à l'instant, c'est de voir que mon bras est de nouveau fonctionnel et qu'il sait encore écrire des phrases. Mais ne vous détrompez pas, la seule raison pour laquelle cette vieille habitude est revenu est simplement car ma source de lumière est partie depuis 2 semaines et sera encore absente pour quelques semaine supplémentaire.
Qui dit privation de source de lumière, dit le retour du dark, du pessimiste et du Candide pendu, d'ailleurs, il serait temps que je creuse une tombe pour ce dernier, sa décomposition commence à se faire laide et puante.
Je dois dire, que ce désarroi, ce désespoir m'avais un peu manquer, je l'avais adopté pour finalement l'abandonner, mais il m'a quand même aider à survivre, ce qui forme un paradoxe à son paroxysme, comme on dit dans le jargon, c'est la cerise sur le gâteau, c'est comme si je vous disais qu'une corde autour du cou maintenait en vie, et puis après tout, c'est peut-être vrai, le moment où on se sent le plus en vie, c'est lorsqu'on est entrain de la perdre !
Cessez ce ruminement, je vous vois déjà arriver en me baratinant que j'ai tout pour être heureux, que caresser le désespoir avec envie n'a pas lieu d'être, je suis heureux, mais j'ai droit à mes moments de faiblesse comme tout être humain sur cette Terre, la seule raison pour laquelle je ne sombre pas dans la folie en temps de faiblesse, c'est l'écriture, je m'y accroche comme si ma vie en dépendait car en ce moment, c'est la seule chose qui sépare le bord du fond du gouffre. je n'ai pas envie de finir comme Gollum, j'en ai marre de m'accoupler avec le fond de ce dernier, je peux enfin m'envoyer en l'air et c'est bien plus jouissif !
J'ai tendance à croire que je n'ai pas été adopter par les limbes, j'y suis né ! Elle est ma mère biologique et je suis le fruit de la passion entre la haine et la tristesse.
Ce processus de vidange m'avait quelque peut manquer, écrire sans pour autant être lu m'avait manquer... Mais elle me manque toujours et rien ce que je ne puisse faire changera cela, mise à part la patience.
Qui dit privation de source de lumière, dit le retour du dark, du pessimiste et du Candide pendu, d'ailleurs, il serait temps que je creuse une tombe pour ce dernier, sa décomposition commence à se faire laide et puante.
Je dois dire, que ce désarroi, ce désespoir m'avais un peu manquer, je l'avais adopté pour finalement l'abandonner, mais il m'a quand même aider à survivre, ce qui forme un paradoxe à son paroxysme, comme on dit dans le jargon, c'est la cerise sur le gâteau, c'est comme si je vous disais qu'une corde autour du cou maintenait en vie, et puis après tout, c'est peut-être vrai, le moment où on se sent le plus en vie, c'est lorsqu'on est entrain de la perdre !
Cessez ce ruminement, je vous vois déjà arriver en me baratinant que j'ai tout pour être heureux, que caresser le désespoir avec envie n'a pas lieu d'être, je suis heureux, mais j'ai droit à mes moments de faiblesse comme tout être humain sur cette Terre, la seule raison pour laquelle je ne sombre pas dans la folie en temps de faiblesse, c'est l'écriture, je m'y accroche comme si ma vie en dépendait car en ce moment, c'est la seule chose qui sépare le bord du fond du gouffre. je n'ai pas envie de finir comme Gollum, j'en ai marre de m'accoupler avec le fond de ce dernier, je peux enfin m'envoyer en l'air et c'est bien plus jouissif !
J'ai tendance à croire que je n'ai pas été adopter par les limbes, j'y suis né ! Elle est ma mère biologique et je suis le fruit de la passion entre la haine et la tristesse.
Ce processus de vidange m'avait quelque peut manquer, écrire sans pour autant être lu m'avait manquer... Mais elle me manque toujours et rien ce que je ne puisse faire changera cela, mise à part la patience.
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