Auto-destruction dans... 3... 2... 1... *boom*
Il m'est toujours étrange de revenir sur ce blog, très souvent peu visité, que ce soit par moi-même où autres âmes errantes... Il est vrai que l'idée d'être lu ne m'est que peu importante, là où réside mon désir, c'est de simplement écrire afin de vider mon vase car tout être humain en possède un, certes de taille différente, voilà le pourquoi du je n'écris que très rarement, je possède un tout aussi grand vase que mes 3 estomacs, il est donc normal pour moi d'écrire que très peu car rare sont les moments où j'en ressens l'envie. Alors pourquoi vouloir écrire aujourd'hui ? En ce jeudi grisâtre et étant en congés en plus, ne serait-il pas plus judicieux de sortir de chez sois et de respirer en s'accompagnant de compagnie amicale ? Ceux qui me connaissent savent que je ne fais pas partie du monde socialement actif, bien que je le veuille et l'assume, cela ne m'empêche pas ressentir la solitude qui parfois, fait longuement réfléchir et me donne envie d'écrire ou d'écouter de la musique ou bien de tuer le temps à coup de R2 et des headshot sur innombrable jeux, en ligne bien entendu, il faut un minimum de contact sociale sur une journée, bien que les miens se résume par moment a juste vouloir dominer les adversaires en face de moi.
Quand j'y pense avec du recul, je trouve marrant le faite de vouloir m'auto-détruire avec une telle facilité qu'on pourrait se demander si j'ai encore l'envie de vivre, la réponse est oui, sinon je ne ferai déjà plus partie de ce monde. Pourquoi est-ce que je parle d'auto-déstruction ? La cigarette, à l'heure d'aujourd'hui, nous savons les dégâts néfastes qu'elle engendre, j'ai déjà eu de long discours moralisateur à ce sujet, des personnes qui ne veulent que mon bien, mais à qui je ris lorsque je les écoutes lors de leurs discours et pourtant, ils ont raisons, mais je n'en fais qu'à ma tête, je me daigne à vouloir fumer alors que je sais très bien que je cours un plus gros risque de voir ma vie s'arrêter net à cause d'un putain de cancer, qui au finale, j'aurai mérité puisque je n'arrête toujours pas tout en sachant très bien les risques que j'encours. J'ai déjà vu des personnes avoir des cancers sans pour autant avoir fumer de leurs vies, ils avaient même une vie de rêve pour leurs corps car, ni boire, ni fumer, faire du sport et manger sainement, normalement avec ces facteurs réunis, tu n'es pas censé choper ce fléau et pourtant... Je me suis dis récemment, dans ce cas, si je continue de fumer et que je rencontre le Cancer, je ne pourrai en vouloir qu'à moi-même, mais si j'arrête, et que je le rencontre quand même, le regret d'avoir arrêter naîtra aussi tôt pour venir me latter les couilles aussi douloureusement que le Cancer.
Ensuite, parlons de mon dos, aaaah le dos... Maladie du siècle les amis ! J'ai 25 ans et j'ai une dégénérescence discale, je vous avoue que la dégénérescence mentale, je l'ai déjà depuis un bon bout de temps et il n'y à malheureusement plus rien à faire pour ça... Pour mon dos, certes ce n'est pas soignable, mais j'ai le choix de freiner au maximum cette maladie, maigrir, faire du sport, se ménager et pourtant, comme pour la cigarette, je ne cherche que l'auto-déstruction car je ne fais rien de tout cela. Qu'est-ce qu'il cloche chez moi ? Moi qui pourtant aie besoin d'une éternel reconnaissance, je ne fais que me laisser sombrer dans le néant aussi vite que la montée de l'empire Nazi. Je sais très bien que j'ai été bercé trop prés du mur, mais je commence vraiment a me demander si quelque chose me manque dans mon cerveau. Par exemple le sens de la prise de conscience, je sais pas, me manquerait-il des connexions entre quelques neurones qui font que je ne bouge pas mon cul de cette putain de chaise ?
Ce n'est pas en écrivant que ce neurone manquant fera surface et pourtant je daigne à rester assis et jouer pour combler le vide que j'ai.
Pourtant, quand on recense les points négatifs de la cigarette, ils sont nombreux, tellement plus nombreux qu'une personne saine d'esprit arrêterait immédiatement et pareil pour le mal de dos, c'est une douleur constante qui change votre vie et affecte votre humeur et une décharge électrique digne d'un coup de marteau du dieu Tonnerre peut arriver à n'importe quel moment et en un instant, vous êtes alité pendant des jours tellement tu ne sais plus bouger, de nouveau, ici, une personne saine d'esprit se bougerait le cul pour freiner au maximum cette maladie.
Qu'est-ce qui cloche chez moi ?
Je vous laisse, j'ai piscine.
Quand j'y pense avec du recul, je trouve marrant le faite de vouloir m'auto-détruire avec une telle facilité qu'on pourrait se demander si j'ai encore l'envie de vivre, la réponse est oui, sinon je ne ferai déjà plus partie de ce monde. Pourquoi est-ce que je parle d'auto-déstruction ? La cigarette, à l'heure d'aujourd'hui, nous savons les dégâts néfastes qu'elle engendre, j'ai déjà eu de long discours moralisateur à ce sujet, des personnes qui ne veulent que mon bien, mais à qui je ris lorsque je les écoutes lors de leurs discours et pourtant, ils ont raisons, mais je n'en fais qu'à ma tête, je me daigne à vouloir fumer alors que je sais très bien que je cours un plus gros risque de voir ma vie s'arrêter net à cause d'un putain de cancer, qui au finale, j'aurai mérité puisque je n'arrête toujours pas tout en sachant très bien les risques que j'encours. J'ai déjà vu des personnes avoir des cancers sans pour autant avoir fumer de leurs vies, ils avaient même une vie de rêve pour leurs corps car, ni boire, ni fumer, faire du sport et manger sainement, normalement avec ces facteurs réunis, tu n'es pas censé choper ce fléau et pourtant... Je me suis dis récemment, dans ce cas, si je continue de fumer et que je rencontre le Cancer, je ne pourrai en vouloir qu'à moi-même, mais si j'arrête, et que je le rencontre quand même, le regret d'avoir arrêter naîtra aussi tôt pour venir me latter les couilles aussi douloureusement que le Cancer.
Ensuite, parlons de mon dos, aaaah le dos... Maladie du siècle les amis ! J'ai 25 ans et j'ai une dégénérescence discale, je vous avoue que la dégénérescence mentale, je l'ai déjà depuis un bon bout de temps et il n'y à malheureusement plus rien à faire pour ça... Pour mon dos, certes ce n'est pas soignable, mais j'ai le choix de freiner au maximum cette maladie, maigrir, faire du sport, se ménager et pourtant, comme pour la cigarette, je ne cherche que l'auto-déstruction car je ne fais rien de tout cela. Qu'est-ce qu'il cloche chez moi ? Moi qui pourtant aie besoin d'une éternel reconnaissance, je ne fais que me laisser sombrer dans le néant aussi vite que la montée de l'empire Nazi. Je sais très bien que j'ai été bercé trop prés du mur, mais je commence vraiment a me demander si quelque chose me manque dans mon cerveau. Par exemple le sens de la prise de conscience, je sais pas, me manquerait-il des connexions entre quelques neurones qui font que je ne bouge pas mon cul de cette putain de chaise ?
Ce n'est pas en écrivant que ce neurone manquant fera surface et pourtant je daigne à rester assis et jouer pour combler le vide que j'ai.
Pourtant, quand on recense les points négatifs de la cigarette, ils sont nombreux, tellement plus nombreux qu'une personne saine d'esprit arrêterait immédiatement et pareil pour le mal de dos, c'est une douleur constante qui change votre vie et affecte votre humeur et une décharge électrique digne d'un coup de marteau du dieu Tonnerre peut arriver à n'importe quel moment et en un instant, vous êtes alité pendant des jours tellement tu ne sais plus bouger, de nouveau, ici, une personne saine d'esprit se bougerait le cul pour freiner au maximum cette maladie.
Qu'est-ce qui cloche chez moi ?
Je vous laisse, j'ai piscine.
Commentaires
Enregistrer un commentaire