Wintertime sadness
Me revoilà devant une page blanche, qui finira noir... J'ai cette tendance à faire perdre la couleur de toute chose que je touche... A en croire que je suis un pessimiste qui ne s'assume pas en s’autoproclamant réaliste.
Mon verre est à moitié vide ou à moitié plein? J'en ai foutrement aucune idée, il est entourer de noirceur, il est peut-être vide, peut-être rempli, je n'en sais rien, je ne sais même pas si j'ai envie de le savoir, c'est ça qui est triste. Je suis un triste.
Comment voulez-vous que je puisse garder ou redonner de la couleur sans savoir à quoi elle ressemble?
Est-ce que j'aime la tristesse pour en arriver à ne parler que de ça? De tout ramener à la tristesse? La mélancolie? Encore une tonne de question sans y porter de réponse, j'arrive à la limite du questionnement, j'espère avoir la force de passer à l'agissement!
Pour trouver cette force, je dois posséder quelque chose, ou du moins, ce quelque chose doit posséder quelqu'un, mais c'est pas en restant devant une page blanche, une tristesse à en faire déprimer un optimiste dans mes yeux que ça changera...
Irais-je jusqu'à dire que j'aime l'absence de couleur? Dans ce cas, je n'aimerai pas la nature mère de la beauté. La femme en est la fille.
Je pensais que l'écriture m'aiderait à mieux me sentir, que ça m'apprendrai à sourire volontairement, que ça allait m'apprendre à me lever de ma chaise et de prendre l'air à s'en exploser les poumons, mais c'est bien le contraire... Je passe plus de temps à tapoter sur mon clavier et gribouiller une feuille blanche qui en plus, est virtuelle, qu'à lever mon cul de cette chaise qui me casse le bas du dos.
Mes pensées sont donc fausses et puisque le faite de voir très souvent noir est l'une de mes pensées, j'en arrive à la conclusion qu'elle est fausse et que c'est juste une excuse pour qu'on fasse attention à moi, pensant que la tristesse allait amener des gens vers moi en prenant soin de ma petite personne, tout en me badigeonnant le front d'eau froide lorsqu'il est chaud et inversement lorsqu'il est froid. Être triste, ça ne fais pas de moi une personne tierce de l'humanité, mais bien un humain lambda.
Je devrai prendre un pied-de-biche et aller casser ces petits nids de mauvaise idées que des corbeaux ont lentement créer dans ma tête et arrêter de vouloir les noyer à coup de larmes, ces corbeaux là savent nager...
Mon verre est à moitié vide ou à moitié plein? J'en ai foutrement aucune idée, il est entourer de noirceur, il est peut-être vide, peut-être rempli, je n'en sais rien, je ne sais même pas si j'ai envie de le savoir, c'est ça qui est triste. Je suis un triste.
Comment voulez-vous que je puisse garder ou redonner de la couleur sans savoir à quoi elle ressemble?
Est-ce que j'aime la tristesse pour en arriver à ne parler que de ça? De tout ramener à la tristesse? La mélancolie? Encore une tonne de question sans y porter de réponse, j'arrive à la limite du questionnement, j'espère avoir la force de passer à l'agissement!
Pour trouver cette force, je dois posséder quelque chose, ou du moins, ce quelque chose doit posséder quelqu'un, mais c'est pas en restant devant une page blanche, une tristesse à en faire déprimer un optimiste dans mes yeux que ça changera...
Irais-je jusqu'à dire que j'aime l'absence de couleur? Dans ce cas, je n'aimerai pas la nature mère de la beauté. La femme en est la fille.
Je pensais que l'écriture m'aiderait à mieux me sentir, que ça m'apprendrai à sourire volontairement, que ça allait m'apprendre à me lever de ma chaise et de prendre l'air à s'en exploser les poumons, mais c'est bien le contraire... Je passe plus de temps à tapoter sur mon clavier et gribouiller une feuille blanche qui en plus, est virtuelle, qu'à lever mon cul de cette chaise qui me casse le bas du dos.
Mes pensées sont donc fausses et puisque le faite de voir très souvent noir est l'une de mes pensées, j'en arrive à la conclusion qu'elle est fausse et que c'est juste une excuse pour qu'on fasse attention à moi, pensant que la tristesse allait amener des gens vers moi en prenant soin de ma petite personne, tout en me badigeonnant le front d'eau froide lorsqu'il est chaud et inversement lorsqu'il est froid. Être triste, ça ne fais pas de moi une personne tierce de l'humanité, mais bien un humain lambda.
Je devrai prendre un pied-de-biche et aller casser ces petits nids de mauvaise idées que des corbeaux ont lentement créer dans ma tête et arrêter de vouloir les noyer à coup de larmes, ces corbeaux là savent nager...
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