Chapter two.

Chapitre 2.

En moins d'une minute de présence en bas et son paternel lui fait un remarque désobligeante au sujet de le chaise traîner qui provoque un échos de bruit dans la pièce déjà presque vide. Le jeune homme prend une grande respiration pour ne pas lui répondre et ramasser un poing, ou une gifle, si il a de la chance, mais... Cette inspiration ne sert pas à grande chose, lorsqu'il le fixe avec la bouche ouverte et laissant à découvert la première bouchée des petits poids et carotte fraîchement sortis de la boite de conserve

- Tu sais quoi? Si tu veux pas que cette chaise fasse du bruit lorsqu'on la tire, tu n'as cas remettre un collant sur les pieds pour ne plus que ça fasse du bruit, si tu levais un peu ton cul de cette chaise qui commence à prendre la forme de ton corps gras et dépourvu de charme, tu n'attires même plus Maman, pour ça qu'elle se casse avec tout!

Son père n'a eu le temps de répondre ou de taper sur la table en le menaçant en dirigeant le couteau vers lui que le jeune rebelle repris la parole, alors que sa mère lui tire le bras pour essayer de le faire taire.

- Tu vas me faire quoi? Hein? Me frapper? Et bien vas-y pauvre con, tu ne sais faire que ça, frapper. Frappe moi, je t'en supplie et j'aurai de jolie preuve à montrer à la police que je m'empresserai d'aller trouver. Et oui, depuis toutes ces années où je ferme ma gueule, je l'ouvre enfin, et tu vas enfin voir de quoi je suis capable. Me frapper ne te suffit pas, il faut aussi que tu touches à la petite, du haut de ces 7 ans elle ne sait pas encore ce qu'il se passe, mais moi, je le sais très bien, j'ai deux fois l'âge qu'elle et je suis bien plus mature que toi, à force de m'enfermer dans ma chambre, je me suis tourner vers les livres et la culture, qu’évidemment, tu ne connais pas. Lève encore la main sur moi et je franchirai le seul pas entre la gentillesse et la vengeance. J'hésiterai pas à me servir de la légitime défense. Le seul lien qu'il y à entre toi et moi, c'est la moitié de mon sang qui est comme le tiens, mais heureusement, il n'y à que le sang et ça ne peut pas définir une personne.

C'est alors que sa mère commence à pleurer, elle a peur de la réaction que peut avoir son mari et père de ces enfants, elle a peur de devoir aller à l'église et à dire au revoir à son fils séparer par une boite en bois qui coûte très chère et qui dépouille de l'argent aux malheureux plus qu'ils ne le sont déjà.
Le père s'empresse de se lever pour aller donner une correction à son fils, mais ce dernier avait soigneusement prit le couteau à steak dans la main, l'enfermant dans sa main comme si sa vie y tenait

- Tu sais très bien que j'oserai le faire, alors ne m'approches surtout pas!

La petite prend dés lors exemple sur sa mère, elle pleure, un cris strident qui agace le père, entre deux femmes qui pleurent et son fils prêt à lui sauter dessus, il prend la fuite, il sait que c'est sa seule option si il veut un jour frapper à nouveau quelqu'un et boire à longueur de journée pour essayer d'oublier l'éducation de merde que son père à laisser derrière lui.

- Désolé papa, je soulèverai la chaise la prochaine fois.

Il aurait tant voulu que ça se passe comme dans son imagination, mais tout va se passer autrement, il avait déjà tout prévu. C'est ce soir que tout va se jouer, où la liberté sera sa maîtresse et découverte sera son amie.

Commentaires

  1. Tu nous laisses sur notre faim là. Je suppose que c'est fait exprès ..
    L.

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