C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme.
J'ai beau marcher vers cette eau salé à perte de vue, j'ai beau vouloir aller là où mes pieds n'ont plus aucun contact avec le sol sablé, j'ai beau vouloir y plonger la tête et ne jamais vouloir refaire surface, il y à toujours ces vagues qui me ramène sur le rivage. Pourquoi? Pourquoi je ne peux piquer une dernière tête et avaler la tasse ?! Certains y arrivent, mais pas moi... Encore un échec, même mettre fin à cette succession d'échec, je n'y arrive point.
J'ai la nette impression que ces vagues ne sont pas naturel, c'est comme si une machine, comme si quelqu'un faisait tout pour créer ces vagues qui me ramène sur cette berge de malheur. Mais comment une personne arrive à elle seule, a créer de si énorme vague dont même Hulk ne saurait combattre? A moins que... Oui, à moins que ce soit un groupe de personne? Qui donc serait assez fou pour vouloir me remettre sur la rive? Surtout plusieurs personnes... J'ai l'impression de ne pas pouvoir voir plus loin que le bout de mon nez encore une fois... Le sel irrite mes yeux, à force d'y plonger, je finis aveugle.
Qui? Qui voudrait ma vie? Qui voudrait ma mort, je peux très bien y répondre à cette question, mais ma vie? Non, non, c'est impossible! Aurais-je véritablement des amis? Je... Je pense avoir tellement été submerger par la vue que j'avais devant la mort, que j'en ai oublier de regarder par dessus l'épaule et de voir la vie, rempli de montagne, de vallée, de prairie, d'habitations et surtout, de ce petit groupe, à eux seul ne peuvent pas déplacer une montage, mais pourtant, ils arrivent à créer des vagues qui me force à ne pas mourir. Me revoilà aveugle, mais plus par le sel, par le soleil. Qu'il est magnifique, j'en avais oublier toute sa splendeur, mais... Je ne pensais pas avoir autant d'amis... Attendez... Non, il n'y à pas que des amis... Il y à ma... Ma famille! Oui, oui c'est eux! Je les reconnais... ils... Ils sont tous là, à me sourire bêtement, ce sourire qui avant, me donnait envie de gerber et de sortir dans les rues et de déglinguer sous la détente quelques personnes au passage.
Et moi, j'suis là à les regarder, mais qu'est-ce que j'attends pour courir vers eux et allumer un feu de joie et de décapsuler quelques bières avec mes dents et de rire aux éclats avec le peu de dents qu'il me restera? Mes pieds sont enfuit sous le sable mouiller, une sorte de marécage... Le même sourire qu'eux apparaît sur le visage, je hausse les épaules et je dis tout simplement : " Un coup de vague les gars? ". Il suffit de demander, me voilà prêt d'eux, tête sur le sol, cette vague était plutôt forte, j'ai mal à la tête, mais c'est le prix d'un sauvetage, je préfère avoir mal que ne plus avoir mal du tout.
Sur cette fin, je vais m'adresser directement à ma famille et à mes amis, vous n'en avez peut-être pas conscience, mais vous m'avez sauver, vous me sauvez et vous me sauverez encore et encore. Au fil du temps, certains personnes de ce groupe dansant partiront, mais d'autres prendront leurs places, les seuls personnes qui ne peuvent être remplacer, c'est bien évidemment la famille, certains disent qu'on peux pas choisir la famille, et bien on peut dire qu'être tomber dans celle-ci, c'est la seule réussite que j'ai su faire et encore, ce n'est pas moi qui est choisit.
Merci à vous, je ne devrais pas vous remerciez, car c'est quelque chose de naturel, mais je le fais quand même, me sauver la vie n'est pas quelque chose de naturel.
Je clôture cet article, qui fut dur à écrire sur cette citation, imaginer par Anonyme.
Trois petits points s'en viennent, mais ne s'en vont point, mais s'enfuient à point nommé...
J'ai la nette impression que ces vagues ne sont pas naturel, c'est comme si une machine, comme si quelqu'un faisait tout pour créer ces vagues qui me ramène sur cette berge de malheur. Mais comment une personne arrive à elle seule, a créer de si énorme vague dont même Hulk ne saurait combattre? A moins que... Oui, à moins que ce soit un groupe de personne? Qui donc serait assez fou pour vouloir me remettre sur la rive? Surtout plusieurs personnes... J'ai l'impression de ne pas pouvoir voir plus loin que le bout de mon nez encore une fois... Le sel irrite mes yeux, à force d'y plonger, je finis aveugle.
Qui? Qui voudrait ma vie? Qui voudrait ma mort, je peux très bien y répondre à cette question, mais ma vie? Non, non, c'est impossible! Aurais-je véritablement des amis? Je... Je pense avoir tellement été submerger par la vue que j'avais devant la mort, que j'en ai oublier de regarder par dessus l'épaule et de voir la vie, rempli de montagne, de vallée, de prairie, d'habitations et surtout, de ce petit groupe, à eux seul ne peuvent pas déplacer une montage, mais pourtant, ils arrivent à créer des vagues qui me force à ne pas mourir. Me revoilà aveugle, mais plus par le sel, par le soleil. Qu'il est magnifique, j'en avais oublier toute sa splendeur, mais... Je ne pensais pas avoir autant d'amis... Attendez... Non, il n'y à pas que des amis... Il y à ma... Ma famille! Oui, oui c'est eux! Je les reconnais... ils... Ils sont tous là, à me sourire bêtement, ce sourire qui avant, me donnait envie de gerber et de sortir dans les rues et de déglinguer sous la détente quelques personnes au passage.
Et moi, j'suis là à les regarder, mais qu'est-ce que j'attends pour courir vers eux et allumer un feu de joie et de décapsuler quelques bières avec mes dents et de rire aux éclats avec le peu de dents qu'il me restera? Mes pieds sont enfuit sous le sable mouiller, une sorte de marécage... Le même sourire qu'eux apparaît sur le visage, je hausse les épaules et je dis tout simplement : " Un coup de vague les gars? ". Il suffit de demander, me voilà prêt d'eux, tête sur le sol, cette vague était plutôt forte, j'ai mal à la tête, mais c'est le prix d'un sauvetage, je préfère avoir mal que ne plus avoir mal du tout.
Sur cette fin, je vais m'adresser directement à ma famille et à mes amis, vous n'en avez peut-être pas conscience, mais vous m'avez sauver, vous me sauvez et vous me sauverez encore et encore. Au fil du temps, certains personnes de ce groupe dansant partiront, mais d'autres prendront leurs places, les seuls personnes qui ne peuvent être remplacer, c'est bien évidemment la famille, certains disent qu'on peux pas choisir la famille, et bien on peut dire qu'être tomber dans celle-ci, c'est la seule réussite que j'ai su faire et encore, ce n'est pas moi qui est choisit.
Merci à vous, je ne devrais pas vous remerciez, car c'est quelque chose de naturel, mais je le fais quand même, me sauver la vie n'est pas quelque chose de naturel.
Je clôture cet article, qui fut dur à écrire sur cette citation, imaginer par Anonyme.
Trois petits points s'en viennent, mais ne s'en vont point, mais s'enfuient à point nommé...
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