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J'ai beau vouloir emmerder ce monde, le revers est assez puissant de la part de ce dernier. De toute manière, je m'en contre-fiche... Il aura beau me tabasser, à me tourner le dos et regarder la foule en levant les bras comme signe de victoire, criant de rage et étalant sa salive sur le sol tel un chien enragé, je me relèverai toujours.
Pourquoi se relever? Mon sort est condamné, face à un tel adversaire, n'aurais-je pas peur de la mort? Vous avez tout faux, j'ai bel et bien peur de la mort, c'est cette peur qui réanime mes jambes et mes bras et qui font en sortent que je ne lâche pas prise. Il serait trop beau pour le monde que je laisse coucher sur le sol à attendre les anges déchus pour m'entraîner sous-terre.
Il aura beau me tacler de nouveau, m'envoyer un couteau sucré dans le dos à en ravir un diabétique, il aura beau me mettre la corde autour du cou, j'aurai toujours ce sourire sur le visage. Ce qui fera de moi, non pas le perdant, ni le malheureux, mais le vainqueur.
J'ai l'impression que je vais devoir consacrer ma vie à essayer de parer le revers de cet enfoiré, mais à qui je tiens énormément. C'est assez paradoxale, vous ne trouvez pas? Détester le monde dans lequel on vit, mais l'aimer aussi. Puis-je apporter ma réponse? C'est une question rhétorique, je me contre fou de votre réponse.
Le monde dans lequel on vit aujourd'hui, à été créer par l'homme. C'est ce qui le rend détestable, les premiers hommes n'auraient pas du pro-créer. Ils auraient dû s'entre-tuer et ne pas perdurer cette race dominatrice et fervente de pouvoir. Ce big-bang aurait dû avoir des milliards d'année de retard et venir rire à la face des Hommes aujourd'hui, histoire de les refroidir un peu. Mais...
Mais sans ce monde détestable créer par cette sous-race, dont je fais partie, sans eux, je ne saurai déverser ma haine dans le delta du Nil pour qu'elle se fasse dissoudre par Fukyoushima.
Après chaque processus de vidange, je me sens moins lourd, je sens que je peux sauter plus haut et plus loin. Mais ça ne dure jamais assez longtemps pour que le bonheur reprenne le dessus. J'aurai aimé avoir une fuite, j'aurais aimer que mes parents ne m’apprennent pas à pisser dans la cuvette des chiottes, mais dans le Til.
Pourquoi se relever? Mon sort est condamné, face à un tel adversaire, n'aurais-je pas peur de la mort? Vous avez tout faux, j'ai bel et bien peur de la mort, c'est cette peur qui réanime mes jambes et mes bras et qui font en sortent que je ne lâche pas prise. Il serait trop beau pour le monde que je laisse coucher sur le sol à attendre les anges déchus pour m'entraîner sous-terre.
Il aura beau me tacler de nouveau, m'envoyer un couteau sucré dans le dos à en ravir un diabétique, il aura beau me mettre la corde autour du cou, j'aurai toujours ce sourire sur le visage. Ce qui fera de moi, non pas le perdant, ni le malheureux, mais le vainqueur.
J'ai l'impression que je vais devoir consacrer ma vie à essayer de parer le revers de cet enfoiré, mais à qui je tiens énormément. C'est assez paradoxale, vous ne trouvez pas? Détester le monde dans lequel on vit, mais l'aimer aussi. Puis-je apporter ma réponse? C'est une question rhétorique, je me contre fou de votre réponse.
Le monde dans lequel on vit aujourd'hui, à été créer par l'homme. C'est ce qui le rend détestable, les premiers hommes n'auraient pas du pro-créer. Ils auraient dû s'entre-tuer et ne pas perdurer cette race dominatrice et fervente de pouvoir. Ce big-bang aurait dû avoir des milliards d'année de retard et venir rire à la face des Hommes aujourd'hui, histoire de les refroidir un peu. Mais...
Mais sans ce monde détestable créer par cette sous-race, dont je fais partie, sans eux, je ne saurai déverser ma haine dans le delta du Nil pour qu'elle se fasse dissoudre par Fukyoushima.
Après chaque processus de vidange, je me sens moins lourd, je sens que je peux sauter plus haut et plus loin. Mais ça ne dure jamais assez longtemps pour que le bonheur reprenne le dessus. J'aurai aimé avoir une fuite, j'aurais aimer que mes parents ne m’apprennent pas à pisser dans la cuvette des chiottes, mais dans le Til.
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