Insecticide
Bonsoir, lecteur, détracteur.
Ce soir n'en n'est guère un nouveau, il est fort semblable aux autres, un coup par dessus chaque épaule et la conclusion est la même, seul, je n'ai comme seul accompagnateur une mouche qui essaie de manger les restes de ma poubelle, en temps normal, je l'aurai chasser pour après la tuer et me sentir puissant, mais je viens d'atteindre le stade critique où une mouche peut devenir mon amie à tel point je me noie dans la solitude. J'espère qu'elle ne tardera pas à pondre des œufs avec le festin qu'elle s'offre et que d'autres nous rejoignent pour que l'on puisse faire une grosse fête au tue-mouche, je vais devoir accumuler un stock assez important pour m'éradiquer moi-même, je suis un très grosse mouche, tenace et vorace.
C'est avec un taux d’alcoolémie à coup sûr au dessus de la limite légale que je rédige cet article, quoi de mieux que de fusionner solitude et alcool pour retrouver cette soudaine envie de déblatérer idiotie sans aucun sens, ni logique ? Rien, rien n'est mieux, même pas un coup de fusil à pompe dans la poitrine.
Des éléments récents et nouveaux qui me sont parvenus aux oreilles m'ont fait comprendre, qu'à seulement 21 ans, la vie est injuste. Je trouve ça fort triste de le découvrir si jeune, j'avais encore normalement tant d'années à vivre dans l'inconscience, j'envie Peter-Pan, pourquoi est-elle injuste ? Elle aime tant te tendre une chose magique, te la faire goûter et te pose cette question ; " c'est bon? " Et toi, bien sur que oui tu y réponds, cette magie à un goût unique, mais malheur, si tu as cette envie d'y re-goûter, elle te retire cette magie et l'enferme sous-clés pour que tu ne puisses plus jamais y accéder et t'es là, droit comme un pique à glace, comme un con, désirant cette chose mais ne pouvant l'avoir pour toi.
La vie est une sacré pute, si je puisse dire ainsi. Elle fut sans aucun doute conçue rue Marnix avec une capote trouée et ça ne m'étonnerait pas que le fruit de cette union soit maudit et considérer comme le fils du diable.
La paix me quitte pour laisser place à la colère, la rage de ne pouvoir rien faire, c'est comme être ligoter et à genoux et assister aux meurtres par strangulation ou décapitations de ses amis, famille. Ce sentiment d'être impuissant, qui peut dangereusement se transformer en regret et qui nous pousse à commettre un acte si lâche et courageux à la fois.
Si un adjectif devait me définir, ça serait bel et bien : paradoxe. Ma personne, mon caractère, mes principes, mes valeurs, mes idéologies sont paradoxale les unes aux autres. Je suis le Noir et le Blanc, le Froid et la Chaleur, Pluton et Mercure, mi-plein; mi-remplis. Je m'annule moi-même ce qui fait que je suis inexistant, néant. Si je me sens seul, c'est parce que je suis mort, non pas cliniquement, mais moralement et intérieurement. du moins, c'est ce que j'aurai souhaiter ainsi la douleur ne serait plus qu'un vieux cauchemar.
Mes paupières sont lourdes, elles sont fatiguées d'avoir vu tant de mépris, de tristesse, de solitude, de désarrois. Mon coeur en est tout aussi lourd, nous connaissions l'homme qui lorsqu'il touchait quoi que ce soit, cela se transformait en or, je connais la femme qui lorsqu'elle touchait quoi que ce soit, cela se transforme en pierre, elle m'a toucher avec une telle violence qu'il a tarder à devenir pierre, sang et douleur étaient en avances. Mon rêve était trop beau, c'était trop demander, ça relevait de l'impossible, être heureux devient de plus en plus rare et si toi, tu l'es, sache que je te jalouse et je t'envie et que je tuerai pour avoir ta place.
Mes chaussures de plombs vont m'amener jusqu'à mon lit et je prie pour que Morphée passe me rendre visite avec le marchand de sable pour que je sois réconforter par mes rêves d'envieux.
Au revoir, lecteur, détracteur.
Ce soir n'en n'est guère un nouveau, il est fort semblable aux autres, un coup par dessus chaque épaule et la conclusion est la même, seul, je n'ai comme seul accompagnateur une mouche qui essaie de manger les restes de ma poubelle, en temps normal, je l'aurai chasser pour après la tuer et me sentir puissant, mais je viens d'atteindre le stade critique où une mouche peut devenir mon amie à tel point je me noie dans la solitude. J'espère qu'elle ne tardera pas à pondre des œufs avec le festin qu'elle s'offre et que d'autres nous rejoignent pour que l'on puisse faire une grosse fête au tue-mouche, je vais devoir accumuler un stock assez important pour m'éradiquer moi-même, je suis un très grosse mouche, tenace et vorace.
C'est avec un taux d’alcoolémie à coup sûr au dessus de la limite légale que je rédige cet article, quoi de mieux que de fusionner solitude et alcool pour retrouver cette soudaine envie de déblatérer idiotie sans aucun sens, ni logique ? Rien, rien n'est mieux, même pas un coup de fusil à pompe dans la poitrine.
Des éléments récents et nouveaux qui me sont parvenus aux oreilles m'ont fait comprendre, qu'à seulement 21 ans, la vie est injuste. Je trouve ça fort triste de le découvrir si jeune, j'avais encore normalement tant d'années à vivre dans l'inconscience, j'envie Peter-Pan, pourquoi est-elle injuste ? Elle aime tant te tendre une chose magique, te la faire goûter et te pose cette question ; " c'est bon? " Et toi, bien sur que oui tu y réponds, cette magie à un goût unique, mais malheur, si tu as cette envie d'y re-goûter, elle te retire cette magie et l'enferme sous-clés pour que tu ne puisses plus jamais y accéder et t'es là, droit comme un pique à glace, comme un con, désirant cette chose mais ne pouvant l'avoir pour toi.
La vie est une sacré pute, si je puisse dire ainsi. Elle fut sans aucun doute conçue rue Marnix avec une capote trouée et ça ne m'étonnerait pas que le fruit de cette union soit maudit et considérer comme le fils du diable.
La paix me quitte pour laisser place à la colère, la rage de ne pouvoir rien faire, c'est comme être ligoter et à genoux et assister aux meurtres par strangulation ou décapitations de ses amis, famille. Ce sentiment d'être impuissant, qui peut dangereusement se transformer en regret et qui nous pousse à commettre un acte si lâche et courageux à la fois.
Si un adjectif devait me définir, ça serait bel et bien : paradoxe. Ma personne, mon caractère, mes principes, mes valeurs, mes idéologies sont paradoxale les unes aux autres. Je suis le Noir et le Blanc, le Froid et la Chaleur, Pluton et Mercure, mi-plein; mi-remplis. Je m'annule moi-même ce qui fait que je suis inexistant, néant. Si je me sens seul, c'est parce que je suis mort, non pas cliniquement, mais moralement et intérieurement. du moins, c'est ce que j'aurai souhaiter ainsi la douleur ne serait plus qu'un vieux cauchemar.
Mes paupières sont lourdes, elles sont fatiguées d'avoir vu tant de mépris, de tristesse, de solitude, de désarrois. Mon coeur en est tout aussi lourd, nous connaissions l'homme qui lorsqu'il touchait quoi que ce soit, cela se transformait en or, je connais la femme qui lorsqu'elle touchait quoi que ce soit, cela se transforme en pierre, elle m'a toucher avec une telle violence qu'il a tarder à devenir pierre, sang et douleur étaient en avances. Mon rêve était trop beau, c'était trop demander, ça relevait de l'impossible, être heureux devient de plus en plus rare et si toi, tu l'es, sache que je te jalouse et je t'envie et que je tuerai pour avoir ta place.
Mes chaussures de plombs vont m'amener jusqu'à mon lit et je prie pour que Morphée passe me rendre visite avec le marchand de sable pour que je sois réconforter par mes rêves d'envieux.
Au revoir, lecteur, détracteur.
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