Sujet N° 211.27
Perdu... Tel est mon ressentit ces derniers temps. Je ne sais sur quel pied danser et je me retrouve cul sur terre, bras croiser devant une multitude de choix émanant de ces portes blanchâtres. J'essaie de me concentrer, les yeux fermer et de sentir laquelle est la moins nauséabonde, mais elles le sont toutes. Devrais-je mettre mon futur entre les mains du hasard? Je crois fort à ce dernier, mais lui n'est guère du même avis.
Quel sera mon prochain mouvement? J'en sais tellement rien... Je me retrouve assit, apprenant la vertu de la patience, attendant qu'une bourrasque de vent, chaud ou froid peu m'importe, me fasse bouger de ce rocher en forme de caniveau. J'attends un signe, un geste, un appel, une main tendue, un coup sur la tête et sur l'arrière train.
L'endroit où je suis ressemble plus à un pied du mur avec des portes peintes à l'encre sanguinaire, c'est un trompe œil et moi comme un con, je croyais en l'existence de ces choix, alors qu'en réalité, il ne me reste plus que deux option, l'une serait de me retourner pour admirer le chemin que j'ai parcouru pour arriver dos à ce mur. L'autre, serait de me coucher, contempler le trompe œil et vivre la vie rêvée, l'endroit du possible, où les cochons vols, où les poules ont des dents, où toi & moi sommes réunis.
Choisir entre un mensonge heureux et une vérité malheureuse... L'un des plus gros dilemme empoisonné que m'offre la Vie. La Vie... Je devrais la donner à quelqu'un de plus méritant que moi, quelqu'un qui ne demande qu'à vivre, lui offrir le plus majestueux et inestimable des cadeaux.
Devrais-je sauter du haut de la falaise ? Avec cet espoir de tomber sur la tête et de devenir amnésique? Pouvoir me créer une toute autre identité, un tout autre caractère, une toute autre façon de pensées qui serait bien moins négative que la précédente... M'oublier reviendrait à t'oublier, c'est peut-être la seule chose à faire...
Peut-être... Le doute, la supposition, le pourquoi pas... Je sais ce que je veux, mais ce quelque chose créer en moi un sentiment profond de vouloir le contraire, car ce quelque chose est incompréhensible jusqu'à maintenant, si le Savoir était de la partie, je ne serai pas entrain de me lamenter sur mon sort en pleurant à genoux, suppliant la mutation de ma poitrine, passer du liquide au solide, aussi dur que la montagne du Destin. J'ai la faculté de m'adapter facilement dans le milieu dans lequel je me trouve. Comment voulez-vous que je m'adapte au néant? En le devenant moi-même ? C'est une solution, oui.
Ma vie devrait-elle se résumé à me lever, enfiler des habits décents, mettre le contact, allumer un tube fournisseur de plaisir morbide et me diriger vers les primeurs, puis rentrer, mettre les oreilles sous l'eau pour essayer de déceler le moindre battement de vie? Pour par la suite, dépenser mon dur labeur dans des tord-boyaux et finir par dégobiller ? Oui? Envoie donc moi une grenade dégoupiller et fais moi exploser la cervelle, ainsi, ce monde sera exempter de la belle ordure que je suis.
C'est avec la gorge irrité que je clôture avec fermeté ce ramassis de connerie, après tout, qu'est-ce que vous vous en avez à foutre? Je ne suis qu'un grain de sable au pied d'une pyramide, un coup de vent et s'envole vers d'autre cieux.
Quel sera mon prochain mouvement? J'en sais tellement rien... Je me retrouve assit, apprenant la vertu de la patience, attendant qu'une bourrasque de vent, chaud ou froid peu m'importe, me fasse bouger de ce rocher en forme de caniveau. J'attends un signe, un geste, un appel, une main tendue, un coup sur la tête et sur l'arrière train.
L'endroit où je suis ressemble plus à un pied du mur avec des portes peintes à l'encre sanguinaire, c'est un trompe œil et moi comme un con, je croyais en l'existence de ces choix, alors qu'en réalité, il ne me reste plus que deux option, l'une serait de me retourner pour admirer le chemin que j'ai parcouru pour arriver dos à ce mur. L'autre, serait de me coucher, contempler le trompe œil et vivre la vie rêvée, l'endroit du possible, où les cochons vols, où les poules ont des dents, où toi & moi sommes réunis.
Choisir entre un mensonge heureux et une vérité malheureuse... L'un des plus gros dilemme empoisonné que m'offre la Vie. La Vie... Je devrais la donner à quelqu'un de plus méritant que moi, quelqu'un qui ne demande qu'à vivre, lui offrir le plus majestueux et inestimable des cadeaux.
Devrais-je sauter du haut de la falaise ? Avec cet espoir de tomber sur la tête et de devenir amnésique? Pouvoir me créer une toute autre identité, un tout autre caractère, une toute autre façon de pensées qui serait bien moins négative que la précédente... M'oublier reviendrait à t'oublier, c'est peut-être la seule chose à faire...
Peut-être... Le doute, la supposition, le pourquoi pas... Je sais ce que je veux, mais ce quelque chose créer en moi un sentiment profond de vouloir le contraire, car ce quelque chose est incompréhensible jusqu'à maintenant, si le Savoir était de la partie, je ne serai pas entrain de me lamenter sur mon sort en pleurant à genoux, suppliant la mutation de ma poitrine, passer du liquide au solide, aussi dur que la montagne du Destin. J'ai la faculté de m'adapter facilement dans le milieu dans lequel je me trouve. Comment voulez-vous que je m'adapte au néant? En le devenant moi-même ? C'est une solution, oui.
Ma vie devrait-elle se résumé à me lever, enfiler des habits décents, mettre le contact, allumer un tube fournisseur de plaisir morbide et me diriger vers les primeurs, puis rentrer, mettre les oreilles sous l'eau pour essayer de déceler le moindre battement de vie? Pour par la suite, dépenser mon dur labeur dans des tord-boyaux et finir par dégobiller ? Oui? Envoie donc moi une grenade dégoupiller et fais moi exploser la cervelle, ainsi, ce monde sera exempter de la belle ordure que je suis.
C'est avec la gorge irrité que je clôture avec fermeté ce ramassis de connerie, après tout, qu'est-ce que vous vous en avez à foutre? Je ne suis qu'un grain de sable au pied d'une pyramide, un coup de vent et s'envole vers d'autre cieux.
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