Hello... Is anybody in there?
Je ne me sens pas seul, se sentir seul peut signifier que nous ne le sommes pas réellement, car ça émet une hypothèse, une supposition de l'atmosphère que nous entoure tant dis que dans mon cas, je suis persuadé de l'être, j'en ai la preuve par A+B que mon équation à une inconnue est impossible à résoudre. Elle est possible à fuir, mais j'ai beau courir plus vite qu'elle, elle fini toujours par me rattraper, elle est inépuisable tant dis que moi bien.
J'ai l'impression d'être un robot, non pas que je n'ai pas de sentiment car j'en ai bel et bien, d'ailleurs c'est ce qui me sauve encore pour l'instant, j'ai cette impression de faire les mêmes gestes matin et soir. Je me lève très tôt, je n'ai pas le temps de déjeuner, juste le temps de me préparer, de me faire le plus présentable possible dans l'immédiat, coup d’œil dans le miroir, clin d’œil pour me donner confiance et c'est partit pour 45km de route aride de vie, linéaire, endormante à souhait et déprimante à gogo. Du Saez dans le lecteur CD, histoire de bien être imprégner d'un état d'esprit dés moins joyeux, le pied de plomb écrasant la pédale des gaz. Mes paupières sont lourdes, je souhaite à chaque secondes sombrer dans un sommeil, mais la dangerosité de faire une sortie de route me tiens éveiller.
J'arrive à ma destination, là où je gagne mon salaire, une dur journée de labeur commence, j'aime ce que je fais, mais rien ne se passe jamais comme prévu, je ne demande qu'une journée où tout va très bien et où je peux fignoler, perfectionner par à côté. Après cette dur journée, c'est repartit pour 40 min de route, avec les paupières toujours aussi lourde, parfois pire, tellement pire que je dois m'arrêter sur le côté et me reposer quelques minutes ou 2-3 boisson énergisante pour aider, ne serait-ce qu'un peu.
Une fois chez moi, on peut remarquer la vie du célibataire non pas flemmard, mais fatigué, un bordel monstre pour un maniaque, un léger bordel pour moi. Mon chez moi est un cimetière, cadavre de vaisselle, vêtement, papier en tout genre, bouteille d'eau vide, malheureusement rien de tout ça n'est biodégradable... Du coup, ça sera ranger quand j'aurai atteint le seuil critique de supporter ce bordel et que je serais un peu mieux reposer. Premier réflexe, poser mon cul sur ma chaise d'ordi, si je supporte plus de 30 min, c'est que j'ai pas besoin d'une sieste, si ma tête chute de plus en plus, je file dans mon lit, pour une sieste d'une heure, normalement, j'ai beau mettre tous les réveils du monde, rien n'y fait, je me réveil 5-6h plus tard. Reposer, motiver, ayant parfois congé le lendemain, je demande à quelques amis si ils font quelque chose, moi qui en temps normal, refuse toute sortie ayant comme "bonne" excuse d'être fatigué, de faire le tôt le lendemain ou d'être en fin de mois, là en ce moment je pouvais sortir, voir mes amis et rire, la plus part me disent que non. Et là c'est la chut, le sentiment de solitude vient te câliner comme étant ton seul ami. Eux sont fatigués quand je le suis moins que d'habitude, ou travaille quand je travaille pas. Est-ce un hasard? Ou... tout le contraire?
Le seul rapport que j'ai avec mes amis, c'est le satellite, que diable je méprise, qu'ais-je fais au bon dieu pour mériter une telle solitude ? Dois-je me confesser ? Dois-je me repentir de mes péchés? Me tirer une balle pour libérer la pression qu'exerce ce questionnement dans ma tête? Je sais pas... Je sais plus.
J'ai l'impression d'être un robot, non pas que je n'ai pas de sentiment car j'en ai bel et bien, d'ailleurs c'est ce qui me sauve encore pour l'instant, j'ai cette impression de faire les mêmes gestes matin et soir. Je me lève très tôt, je n'ai pas le temps de déjeuner, juste le temps de me préparer, de me faire le plus présentable possible dans l'immédiat, coup d’œil dans le miroir, clin d’œil pour me donner confiance et c'est partit pour 45km de route aride de vie, linéaire, endormante à souhait et déprimante à gogo. Du Saez dans le lecteur CD, histoire de bien être imprégner d'un état d'esprit dés moins joyeux, le pied de plomb écrasant la pédale des gaz. Mes paupières sont lourdes, je souhaite à chaque secondes sombrer dans un sommeil, mais la dangerosité de faire une sortie de route me tiens éveiller.
J'arrive à ma destination, là où je gagne mon salaire, une dur journée de labeur commence, j'aime ce que je fais, mais rien ne se passe jamais comme prévu, je ne demande qu'une journée où tout va très bien et où je peux fignoler, perfectionner par à côté. Après cette dur journée, c'est repartit pour 40 min de route, avec les paupières toujours aussi lourde, parfois pire, tellement pire que je dois m'arrêter sur le côté et me reposer quelques minutes ou 2-3 boisson énergisante pour aider, ne serait-ce qu'un peu.
Une fois chez moi, on peut remarquer la vie du célibataire non pas flemmard, mais fatigué, un bordel monstre pour un maniaque, un léger bordel pour moi. Mon chez moi est un cimetière, cadavre de vaisselle, vêtement, papier en tout genre, bouteille d'eau vide, malheureusement rien de tout ça n'est biodégradable... Du coup, ça sera ranger quand j'aurai atteint le seuil critique de supporter ce bordel et que je serais un peu mieux reposer. Premier réflexe, poser mon cul sur ma chaise d'ordi, si je supporte plus de 30 min, c'est que j'ai pas besoin d'une sieste, si ma tête chute de plus en plus, je file dans mon lit, pour une sieste d'une heure, normalement, j'ai beau mettre tous les réveils du monde, rien n'y fait, je me réveil 5-6h plus tard. Reposer, motiver, ayant parfois congé le lendemain, je demande à quelques amis si ils font quelque chose, moi qui en temps normal, refuse toute sortie ayant comme "bonne" excuse d'être fatigué, de faire le tôt le lendemain ou d'être en fin de mois, là en ce moment je pouvais sortir, voir mes amis et rire, la plus part me disent que non. Et là c'est la chut, le sentiment de solitude vient te câliner comme étant ton seul ami. Eux sont fatigués quand je le suis moins que d'habitude, ou travaille quand je travaille pas. Est-ce un hasard? Ou... tout le contraire?
Le seul rapport que j'ai avec mes amis, c'est le satellite, que diable je méprise, qu'ais-je fais au bon dieu pour mériter une telle solitude ? Dois-je me confesser ? Dois-je me repentir de mes péchés? Me tirer une balle pour libérer la pression qu'exerce ce questionnement dans ma tête? Je sais pas... Je sais plus.
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