Prématurément.
Le syndrome de la page blanche, hantise de tous ceux qui osent tapoter sur leurs claviers pour espérer transmettre le savoir, la sagesse, une façon de pensée, un coup de gueule, un coup de langue, une critique, un avis, un jugement et que sais-je encore.
Suis-je malade ? Ais-je ce syndrome ? Pour l'avoir, il me faudrait déjà être écrivain et vous comme moi savons que je ne le suis pas, je suis un citoyen lambda qui paie ses factures, ses taxes et qui lève son gros cul tous les jours pour aller travailler et gagner son salaire pour survivre dans ce monde de sauvageons bouffeur de gras et bêlant en fuyant ce chien aussi heureux que de voir un gosse déballant un Kinder Surprise.
Je me contre fiche de ne pas pouvoir ni vouloir écrire pendant des mois, je me contre fou d'être lu et si je le suis, je me fous d'être compris. Voici mon exutoire, ma façon à moi de taper sur un sac de sable ou de verser mes larmes, de tristesses ou de joies.
Attendez-vous un coup de gueule ? Désolé de vous décevoir, mais il est hors de question pour moi de passer un coup de gueule, je n'ai guère la tête à cela et oui... Cela m'arrive parfois d'enlever mon déguisement d'ours sortit tout droit d'un film avec DiCaprio et de laisser mon visage de bisounours à découvert, feintez moi si cela vous chante, je m'en badigeonnerai allègrement les couilles avec le pinceaux de l'indifférence, avec vos mères en dessous récoltant mon nectar des plus sacrés.
L'Amour putain, c'est encore plus mystérieux que les trous noirs pour moi. Les trous noirs sortent tout droit d'un film de science-fiction, mais il se peut qu'un jour, on sache écrire un livre là-dessus et qu'on puisse dire exactement ce que c'est, défiant toute religion et où il n'y aura pas de débat possible, un jour ça sera comme 1+1=2, c'est ainsi et ça le restera toujours.
L'Amour, c'est pas comme 1+1=2, c'est toute une équation à une infinité d'inconnue que rien ni personne ne pourra résoudre. On ne peut que subir et donner le meilleur de sois-même avec cet espoir que cela fonctionne bien et longtemps.
Cet espoir ? Je l'ai, pleinement en moi, il m'embrase d'un feu surpuissant, réanimant toutes les parties de mon corps, me donnant du punch lorsque je met un pied devant l'autre, un sourire réel qui ne l'était plus depuis quelques temps déjà. Je suis un rêveur et je vais même étonné certains d'entre-vous, je suis un putain d'optimiste ! Candide, sors de ce corps !
Je l'ai toujours caché, car c'est une faiblesse et je reste persuadé que ça en est une, mais pour ma part, ça fait partie des "contraintes" d'aimer et d'être aimer, partager ses faiblesses avec l'autre pour y travailler à deux et les rendre moins fragile.
Si l'espoir avait un regard, il aurait le miens lorsque je la regarde. A la limite de pouvoir scruter les constellations tellement j'ai des étoiles dans les yeux lorsque je croise la sienne. créant ainsi une fusion de galaxies pour ne former qu'une.
Raaaah, ce miel... Je m'en excuse même pas, j'adore m'y baigner, j'étais depuis trop longtemps en hypoglycémie.
Je m'emballe autant qu'un acarien au salon de la moquette, dois-je faire l'autruche et garder la tête sous terre? Dois-je me laisser porter par cette horde de ballon de baudruche ? J'en sais fichtre rien et je m'en lustre l'asperge avec une sauce béchamel digne d'un resto gastronomique. Je me laisse porter tout simplement. J'me plante? Pas de soucis, ma fusée est classé 5 étoiles au crash-test, rapide faculté de réparation autonome avec distributeur de whisky si besoin.
Ainsi suis-je fais en partie, lorsque je veux quelque chose, je fais tout pour l'avoir et une fois en ma possession, peu importe la difficulté, je fais tout pour le garder jusqu'à ce que je ne puisse plus l'étreindre.
Ma plume d'or est ravivée, mais je ne ferai plus la même erreur de vouloir la partager avec quiconque, mes échecs me font grandir, elle aussi.
Cet article t'es dédié en grande partie, ne me demande pas pourquoi il sera mit en publique, mais j'aime l'idée de pouvoir être lu par des inconnus, se demandant qui est derrière ce clavier et de qui je parle et surtout pourquoi j'en parle. L'Imagination possède une limite, que personne ne connaît encore, je suis curieux de voir jusqu'où ils peuvent aller.
Rassures-toi, tout cela n'est pas dit prématurément, c'est tout bonnement réfléchit et surtout... c'est penser à 100% et c'est là, toute la beauté de la chose, de ces lignes, la vérité. Il te suffit de voir mon regard lorsque je croise le tiens, tu verras là toute mon honnêteté et la foi que j'éprouve pour nous.
Suis-je malade ? Ais-je ce syndrome ? Pour l'avoir, il me faudrait déjà être écrivain et vous comme moi savons que je ne le suis pas, je suis un citoyen lambda qui paie ses factures, ses taxes et qui lève son gros cul tous les jours pour aller travailler et gagner son salaire pour survivre dans ce monde de sauvageons bouffeur de gras et bêlant en fuyant ce chien aussi heureux que de voir un gosse déballant un Kinder Surprise.
Je me contre fiche de ne pas pouvoir ni vouloir écrire pendant des mois, je me contre fou d'être lu et si je le suis, je me fous d'être compris. Voici mon exutoire, ma façon à moi de taper sur un sac de sable ou de verser mes larmes, de tristesses ou de joies.
Attendez-vous un coup de gueule ? Désolé de vous décevoir, mais il est hors de question pour moi de passer un coup de gueule, je n'ai guère la tête à cela et oui... Cela m'arrive parfois d'enlever mon déguisement d'ours sortit tout droit d'un film avec DiCaprio et de laisser mon visage de bisounours à découvert, feintez moi si cela vous chante, je m'en badigeonnerai allègrement les couilles avec le pinceaux de l'indifférence, avec vos mères en dessous récoltant mon nectar des plus sacrés.
L'Amour putain, c'est encore plus mystérieux que les trous noirs pour moi. Les trous noirs sortent tout droit d'un film de science-fiction, mais il se peut qu'un jour, on sache écrire un livre là-dessus et qu'on puisse dire exactement ce que c'est, défiant toute religion et où il n'y aura pas de débat possible, un jour ça sera comme 1+1=2, c'est ainsi et ça le restera toujours.
L'Amour, c'est pas comme 1+1=2, c'est toute une équation à une infinité d'inconnue que rien ni personne ne pourra résoudre. On ne peut que subir et donner le meilleur de sois-même avec cet espoir que cela fonctionne bien et longtemps.
Cet espoir ? Je l'ai, pleinement en moi, il m'embrase d'un feu surpuissant, réanimant toutes les parties de mon corps, me donnant du punch lorsque je met un pied devant l'autre, un sourire réel qui ne l'était plus depuis quelques temps déjà. Je suis un rêveur et je vais même étonné certains d'entre-vous, je suis un putain d'optimiste ! Candide, sors de ce corps !
Je l'ai toujours caché, car c'est une faiblesse et je reste persuadé que ça en est une, mais pour ma part, ça fait partie des "contraintes" d'aimer et d'être aimer, partager ses faiblesses avec l'autre pour y travailler à deux et les rendre moins fragile.
Si l'espoir avait un regard, il aurait le miens lorsque je la regarde. A la limite de pouvoir scruter les constellations tellement j'ai des étoiles dans les yeux lorsque je croise la sienne. créant ainsi une fusion de galaxies pour ne former qu'une.
Raaaah, ce miel... Je m'en excuse même pas, j'adore m'y baigner, j'étais depuis trop longtemps en hypoglycémie.
Je m'emballe autant qu'un acarien au salon de la moquette, dois-je faire l'autruche et garder la tête sous terre? Dois-je me laisser porter par cette horde de ballon de baudruche ? J'en sais fichtre rien et je m'en lustre l'asperge avec une sauce béchamel digne d'un resto gastronomique. Je me laisse porter tout simplement. J'me plante? Pas de soucis, ma fusée est classé 5 étoiles au crash-test, rapide faculté de réparation autonome avec distributeur de whisky si besoin.
Ainsi suis-je fais en partie, lorsque je veux quelque chose, je fais tout pour l'avoir et une fois en ma possession, peu importe la difficulté, je fais tout pour le garder jusqu'à ce que je ne puisse plus l'étreindre.
Ma plume d'or est ravivée, mais je ne ferai plus la même erreur de vouloir la partager avec quiconque, mes échecs me font grandir, elle aussi.
Cet article t'es dédié en grande partie, ne me demande pas pourquoi il sera mit en publique, mais j'aime l'idée de pouvoir être lu par des inconnus, se demandant qui est derrière ce clavier et de qui je parle et surtout pourquoi j'en parle. L'Imagination possède une limite, que personne ne connaît encore, je suis curieux de voir jusqu'où ils peuvent aller.
Rassures-toi, tout cela n'est pas dit prématurément, c'est tout bonnement réfléchit et surtout... c'est penser à 100% et c'est là, toute la beauté de la chose, de ces lignes, la vérité. Il te suffit de voir mon regard lorsque je croise le tiens, tu verras là toute mon honnêteté et la foi que j'éprouve pour nous.
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