Autour de moi les fous...
Bonsoir, je ne sais pour quelle raison, j'ai envie d'écrire en cette soirée. Je suppose qu'au fil des lignes, je saurai pourquoi et qu'à la fin, je me sentirai mieux, ou moins mal.
J'ai crus que je pouvais m'arrêter d'écrire car j'étais bien, heureux et que l'envie de détaller mon encre obscure n'avait pas si bon effet que ça. Il s'avère que non, même si je ne suis pas malheureux, il se trouve que petit à petit, je me rende compte que j'ai tout de même ce besoin de transformer une page blanche en un sombre cauchemar, tel est ce que je fais de mieux, tel est ce que je suis.
Souvenez-vous de ma grotte ? Celle qui m'a accueillit les bras ouvert lorsque je cherchais un endroit dépourvu de vie et de chaleur espérant allongé mon temps de survie. Je vous disais un moment donné que j'en étais sortit et que jamais plus je n'y retournerai. Oui ? Je m'en souviens très bien et pour être honnête avec vous, comme envers moi-même, cette grotte je ne l'ai jamais quitté, ce qui par contre a changer par apport à la fois dernière, ce n'est plus elle qui domine, mais bel et bien moi. Je l'ai dompter tel un chasseur en guise du compagnon parfait à ses côtés pour se forger un arc des plus protecteur et dévastateur en cas d'attaque. Cette grotte fait partie de moi, je ne peux en sortir et la nier à jamais car n'oubliez pas une chose, chassez le naturel et il revient au galop vous étreindre comme jamais personne ne le ferai.
On ne peut que vivre avec son naturel et le camouflé. Ou bien, s'en servir comme force et le tourner d'une manière qu'il sera votre atout et plus un malus, tel un prisonnier avec une boule à la cheville. C'est elle dorénavant qui me crains et m'envie d'avoir pu retourner cette situation à mon avantage.
Cette grotte, c'est mon côté loup solitaire, je l'ai été un long moment et je le serai encore par certaines phase, tel est ma façon d'agir lorsque je ne me sens pas bien, je recule dans un buisson en mode Homer ninja et personne ne se posera la question suivante, il est où? Comme jamais on se posera la question, il était où? Tel un apprenti de Ra's al Ghul, on ne remarquera pas mon absence et on ne se demandera pas où j'étais passé.
Le plus dur a gérer dans tout ça, c'est qu'une nouvelle personne a fait son entrée en face de ma grotte, elle sait que je suis là, mais il fait trop sombre pour qu'elle m’aperçoive, pour ma part je la vois très bien, a force de grandir dans l'obscure, on en devient son ami et laisse entrevoir sa clarté sous sa jupe noir. Je la vois, tendant les bras et touchant tout pour essayer de me trouver, parfois elle me trouve et je me cache encore plus profond, mais elle ne cesse de vouloir me prendre dans ses bras, ce que je peux comprendre car nous nous aimons. Jusqu'à quand aura-t-elle la force de me suivre ? A force de jouer à ce jeu, il se peut qu'elle se lasse et fasse demi-tour, tendant son plus beau majeur torché.
Et c'est là mon examen le plus ultime, jusqu'où sera t-elle prête a aller? A-t-elle réellement envie de me voir sous la lumière, de plonger son regard dans mes yeux clair à vue, mais sombre à l'intérieur car oui, je suis cassé. Une enfance pas des plus facile, tout comme l'adolescence et une vie d'adulte qui commence très très tôt avec tout un tas de responsabilité. Il est clair que pour un seul homme, cela reste dur à imaginer comment pourrait-on survivre à un tel environnement hostile, des milliers d'obstacles se présentent de jour en jour, prenant du retard car plus ils arrivent, moins ils sont faciles de franchir et au lieu de me focaliser sur le prochain, je regarde le dernier qui vient d'arriver et je me décourage de passer celui devant moi pour essayer d'atteindre l'endroit où obstacle il n'y aurait pas.
Long est le chemin de mon cœur et compliquer est le chemin de l'Amour. Ah, nous y voilà, ce sujet si compliqué et si facile en même temps, c'est le oui, tout comme le non. Le sombre, comme le clair. Le noir, comme le blanc. L'un sans l'autre, rien n'est possible. Il est facile d'avoir quelqu'un, plus dur est de le garder à ses côtés. Il est clair que j'ai eu un moment d’inattention ces derniers temps, me bouillonnant seul de pression absurde, me rendant malade et déprimé de me dire de raté l'objectif que je m'étais donné, alors que non, je le ne rate pas, il prend juste du temps, beaucoup de temps a réaliser. Du temps, de l'énergie, un peu d'âme aussi. Nombreux sont ceux qui ont essayé avant moi et ont échoué, je suis encore debout, prêt a en découdre encore et encore, jusqu'à mon dernier souffle.
La rage de vaincre refait surface petit à petit, il ne me fallait qu'une petite pichenette pour me réveiller. Il fallait, inconsciemment, qu'elle m’intègre l'idée en tête que je pourrai la perdre et du coup, j'ai imaginé ma vie sans elle et j'ai peur du résultat, je suis déjà passé par cet échec et j'ai vu comment on a du me ramasser à la petite cuillère, sans elle, ça serait mon âme sur le mur en puzzle de 3000 pièces.
Tout ça pour dire qu'en réalité, je l'aime énormément, qu'elle me donne une force insoupçonnable, même si elle ne s'en rend pas compte, qu'elle me transmet de son énergie pour me lever chaque matin et combattre sur le champ de bataille et de donner ce que j'ai de meilleur en moi pour m'améliorer et devenir ce que l'on attend de moi d'être. C'est ça qui est dommage, elle devrait s'en rendre compte sans même que je le lui dise, elle devrait me voir déjà debout, chose qui est très dur d'être dans mon état et pourtant, elle me maintient. Rien que pour ça, je ne peux que l'aimer de tout mon coeur, ce qui me fait peur, l'Amour reste très dangereux et tout peu basculer d'un jour à l'autre, ce qui rajoute un peu plus de pression que je ne m'en mets déjà.
En résumé, il est clair que nous étions destiné à nous rencontrer, il est clair que la vie nous réserve encore beaucoup de chose, de bien ou de mal, seul le temps nous le dira.
Ti voglio bene, tesoro.
J'ai crus que je pouvais m'arrêter d'écrire car j'étais bien, heureux et que l'envie de détaller mon encre obscure n'avait pas si bon effet que ça. Il s'avère que non, même si je ne suis pas malheureux, il se trouve que petit à petit, je me rende compte que j'ai tout de même ce besoin de transformer une page blanche en un sombre cauchemar, tel est ce que je fais de mieux, tel est ce que je suis.
Souvenez-vous de ma grotte ? Celle qui m'a accueillit les bras ouvert lorsque je cherchais un endroit dépourvu de vie et de chaleur espérant allongé mon temps de survie. Je vous disais un moment donné que j'en étais sortit et que jamais plus je n'y retournerai. Oui ? Je m'en souviens très bien et pour être honnête avec vous, comme envers moi-même, cette grotte je ne l'ai jamais quitté, ce qui par contre a changer par apport à la fois dernière, ce n'est plus elle qui domine, mais bel et bien moi. Je l'ai dompter tel un chasseur en guise du compagnon parfait à ses côtés pour se forger un arc des plus protecteur et dévastateur en cas d'attaque. Cette grotte fait partie de moi, je ne peux en sortir et la nier à jamais car n'oubliez pas une chose, chassez le naturel et il revient au galop vous étreindre comme jamais personne ne le ferai.
On ne peut que vivre avec son naturel et le camouflé. Ou bien, s'en servir comme force et le tourner d'une manière qu'il sera votre atout et plus un malus, tel un prisonnier avec une boule à la cheville. C'est elle dorénavant qui me crains et m'envie d'avoir pu retourner cette situation à mon avantage.
Cette grotte, c'est mon côté loup solitaire, je l'ai été un long moment et je le serai encore par certaines phase, tel est ma façon d'agir lorsque je ne me sens pas bien, je recule dans un buisson en mode Homer ninja et personne ne se posera la question suivante, il est où? Comme jamais on se posera la question, il était où? Tel un apprenti de Ra's al Ghul, on ne remarquera pas mon absence et on ne se demandera pas où j'étais passé.
Le plus dur a gérer dans tout ça, c'est qu'une nouvelle personne a fait son entrée en face de ma grotte, elle sait que je suis là, mais il fait trop sombre pour qu'elle m’aperçoive, pour ma part je la vois très bien, a force de grandir dans l'obscure, on en devient son ami et laisse entrevoir sa clarté sous sa jupe noir. Je la vois, tendant les bras et touchant tout pour essayer de me trouver, parfois elle me trouve et je me cache encore plus profond, mais elle ne cesse de vouloir me prendre dans ses bras, ce que je peux comprendre car nous nous aimons. Jusqu'à quand aura-t-elle la force de me suivre ? A force de jouer à ce jeu, il se peut qu'elle se lasse et fasse demi-tour, tendant son plus beau majeur torché.
Et c'est là mon examen le plus ultime, jusqu'où sera t-elle prête a aller? A-t-elle réellement envie de me voir sous la lumière, de plonger son regard dans mes yeux clair à vue, mais sombre à l'intérieur car oui, je suis cassé. Une enfance pas des plus facile, tout comme l'adolescence et une vie d'adulte qui commence très très tôt avec tout un tas de responsabilité. Il est clair que pour un seul homme, cela reste dur à imaginer comment pourrait-on survivre à un tel environnement hostile, des milliers d'obstacles se présentent de jour en jour, prenant du retard car plus ils arrivent, moins ils sont faciles de franchir et au lieu de me focaliser sur le prochain, je regarde le dernier qui vient d'arriver et je me décourage de passer celui devant moi pour essayer d'atteindre l'endroit où obstacle il n'y aurait pas.
Long est le chemin de mon cœur et compliquer est le chemin de l'Amour. Ah, nous y voilà, ce sujet si compliqué et si facile en même temps, c'est le oui, tout comme le non. Le sombre, comme le clair. Le noir, comme le blanc. L'un sans l'autre, rien n'est possible. Il est facile d'avoir quelqu'un, plus dur est de le garder à ses côtés. Il est clair que j'ai eu un moment d’inattention ces derniers temps, me bouillonnant seul de pression absurde, me rendant malade et déprimé de me dire de raté l'objectif que je m'étais donné, alors que non, je le ne rate pas, il prend juste du temps, beaucoup de temps a réaliser. Du temps, de l'énergie, un peu d'âme aussi. Nombreux sont ceux qui ont essayé avant moi et ont échoué, je suis encore debout, prêt a en découdre encore et encore, jusqu'à mon dernier souffle.
La rage de vaincre refait surface petit à petit, il ne me fallait qu'une petite pichenette pour me réveiller. Il fallait, inconsciemment, qu'elle m’intègre l'idée en tête que je pourrai la perdre et du coup, j'ai imaginé ma vie sans elle et j'ai peur du résultat, je suis déjà passé par cet échec et j'ai vu comment on a du me ramasser à la petite cuillère, sans elle, ça serait mon âme sur le mur en puzzle de 3000 pièces.
Tout ça pour dire qu'en réalité, je l'aime énormément, qu'elle me donne une force insoupçonnable, même si elle ne s'en rend pas compte, qu'elle me transmet de son énergie pour me lever chaque matin et combattre sur le champ de bataille et de donner ce que j'ai de meilleur en moi pour m'améliorer et devenir ce que l'on attend de moi d'être. C'est ça qui est dommage, elle devrait s'en rendre compte sans même que je le lui dise, elle devrait me voir déjà debout, chose qui est très dur d'être dans mon état et pourtant, elle me maintient. Rien que pour ça, je ne peux que l'aimer de tout mon coeur, ce qui me fait peur, l'Amour reste très dangereux et tout peu basculer d'un jour à l'autre, ce qui rajoute un peu plus de pression que je ne m'en mets déjà.
En résumé, il est clair que nous étions destiné à nous rencontrer, il est clair que la vie nous réserve encore beaucoup de chose, de bien ou de mal, seul le temps nous le dira.
Ti voglio bene, tesoro.
Peut-être que vous êtes mort...
RépondreSupprimer