Au nom du Père, du Fils...

Il me tarde de vous retrouvez en cette nuit. Fidélement accompagné d'un vinyle extraordinaire, Animals de Pink Floyd et d'un délicieux nectar précieusement offert par un de mes collègues. Et oui...d'une cloppe au bec, avec la suivante à la main, pressé de rejoindre ses frères mort, tous réduits en cendre sans aucune pitée.

J'ai quelques sujets en tête qui me traverse la tête depuis ses derniers jours, je ne sais en réalité pas vers quelle direction je souhaite aller en voulant écrire ces quelques lignes de préface post opératoire. Vais-je me mettre en colère contre les pseudos militant pseudo pro-climat;vegan;féministe;clavieriste putride et gonflé de confiance satellite ? Vais-je faire l'égoiste et parler de moi, de mon état d'esprit actuel, qui je vous ne le cache pas, est un beau bordel, entre devoir réeduquer 25 ans de vie en 6 mois car ma santé physique m'y oblige ou s'en foutre et s'auto-détruire, c'est comme si le chaud se bat avec le froid, ça donne une putain de tempête à en créer un crownfounding pour venir aider les neuronnes qui ont perdu leurs maison et de fêter l'anniversaire de celle-ci chaque année et en créer un jour férié de deuil nationale.

Voyez par vous-même, je ne sais dans quelle direction je souhaite aller, j'ai juste envie de taper sur ce putain de clavier et de foutre mes sentiments, peu importe lesquelles, partout sur cette page vierge, qui ne tardera pas a rejoindre le côté obscure de la  force, car elle va tellement se faire violer à coup de doigts que même le dernier homme sur terre n'osera toucher, même si la vie humaine en dépendait.

Tututu, je vous vois déjà critiquer mon orthographe, aucun correcteur n'étant disponible sur tablette et ...Ho et puis merde, j'en ai rien à foutre ! Je ne souhaite même pas être lu, ni compris, je souhaite juste dégueuler mon coeur et mon cerveau sur le ring et les voirs se battre par dessus la 3ème corde.

Parfois, la vie vous gifle. J'ai essayé de faire de mon mieux, j'ai fais des erreurs de jeunesses, que je referai surement encore car je suis maladroit et il m'arrive de regretter ce que je dis à la seconde où ça sort, mais c'est trop tard, c'est sortit et tu aura beau essayer de camoufler la chose, de la réparer à coup de scotch, rien n'y fera, ça restera marqué au fer rouge. Tu aura beau t'excuser par la suite, la blessure sera toujours présente. Alors il ne restera que deux solutions, soit tu fuis et tu marches sur le cul d'à côté pour sauver le tiens. Ou alors tu assumes et tu grandis avec. En réalité il existe une 3éme solution, tu l'assume et ça te change, ça te transforme. J'ai du prendre une décision qui a changer la vie d'une personne, nombreuse année où j'ai essayé de l'emmener là où je voulais qu'elle soit, mais échec sur échec, il ne restait plus qu'une solution. L'ancien moi n'aurait pas assumer et irait se cacher tout en s'excusant car il est trop gentil et ne veut faire de mal à personne, quitte à se sacrifier pour ne blesser personne d'autre. Mais, le nouveau, lui ne veut pas s'excuser, au contraire, il va assumer car il en a marre de devoir tout encaisser seul pendant qu'il essaie de montrer le meilleur de sois-même chaque jour, quitte à devoir s'endormir au volant ou de se casser le dos, pour eux. Ce temps là est révolu, je vais même jusqu'à aller confirmer les doutes de certains sur ma gentilesse, tel un Anakin renaissant à travers les flammes de l'enfer, non je ne suis pas Jésus, je ne suis pas un miraculé afin de répandre la bonne poire, je suis là pour enlever la clémentine pourrie du filet afin de préserver les autres qui n'ont rien demander.

Et bien, je pense que finalement, je vois où je souhaitais en venir avec cet article. Mon obectif est clair, à ces personnes, pour qui j'ai tout donné, mais qui dés que j'ai le dos tourner, se donne joie de casser du sucre dessus, je n'ai plus besoin de votre reconnaissance, il est clair à l'heure d'aujourd'hui que vous n'êtes plus ma priorité, vous n'êtes qu'un grain de sable au pied d'une pyramide, je suis le sommet de celle-ci. Je vous coupe l'herbe sous le pied, comme dit plus haut, je ne me prend pas pour le fils, alors encore moins pour "dieu le père" comme dirait certain, car j'ai une image très net d'une pyramide. Oui, je suis le sommet, comme vous l'êtes de la vôtre, mais sans une architecture indéstructrice du temps et des ages, il est clair que le sommet ne peut perdurer, votre architecture est votre entourage, ceux qui me soutiennent afin de ne pas tomber, ce sont eux ma priorité.

Pourquoi perdre son énergie sur des grains de sable alors qu'il faudrait plutôt se battre pour consolider les bases de votre pyramide ? Ils ne sont que poussières, un coup de vent et s'en va.

Il me tarde de reprendre ma place, j'ai été à l'ombre bien trop longtemps et je tiens à remercier ce jeune padawan, qui je suis sûr, un jour, dépassera le maître.

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