Comfortably Numb
Il y à quelques heures de ça, j'étais devant une page blanche, écrivant un paragraphe, l’effaçant, en écrivant un autre, finissant toujours par l’effacer. Je n'avais aucune inspiration, aucun sujet en tête, aucun but.
Écouter un album de Pink Floyd et hop, l'inspiration me vient, enfin, non, ce n'est pas de l'inspiration, juste quelque chose dont j'aimerai vous parlez.
Mes échecs, j'aimerai vous en parlez, pour vous prouvez qu'à travers les chutes et les blessures existent toujours des leçons et qu'on finit toujours par se relever.
Le premier échec qui m'a fortement marqué à été mon échec scolaire de la 1ére secondaire, ça me hantera jusqu'à la fin de mes études. Cet échec, non pas que je repose toute la faute dessus, à été causé par le divorce de mes parents, ils n'ont pas divorcer lors de mon entrée en secondaire, non. C'était lors de la rentré de la 5éme primaire, j'ai même du quitter mon école de toujours, déménager et tomber dans une autre école, le 5-6 c'est bien passée, mais plus le temps passais, plus ce divorce m'enfonçait dans une profonde rébellion, pendant 2 ans, je l'avais caché, mais un jour, tout à exploser et l'élément déclencheur, ça été le changement du plus grand de la cour au plus petit.
Lors de cette année, je m'en foutais de tout, je répondais aux profs, leurs crachant limite à la figure, n'ouvrant mes cours que pour en arracher les pages et m'en servir d'allume-feu. A côté de ça, je prenais beaucoup de temps à m'amuser avec mes camardes de classe, j'étais le bouffon de la classe, celui qui faisait rire, j'aimais plutôt ce rôle là, car je n'avais encore aucune notion de l'échec cette année là.
Vous savez quel à été ma réaction lorsque j'ai vu mon nom dans les AOC, ceux qui passent pas du tout? J'ai rigolé et j'ai répondu à mes profs, à l'année prochaine alors!
Lorsque j'ai repassé cette année dans la même école, c'est là que je me suis rendu compte de ma fatale erreur, tomber avec d'autres personnes, plus jeunes que moi, ma rébellion était finie, mais le dépression l'avait remplacer, je me souviens, cette année là, l'envie de me couper les veines m'avaient beaucoup traverser l'esprit, mais j'étais encore trop faible pour passer à l'acte. J'ai passé cette année de peu, ils en avaient sans doute marre de moi et j'ai décidé de quitter cette école pour de bon, dont je ne regrette absolument pas, j'ai fais de belle rencontre, je dois l'accorder, mais ça s'arrête là.
Ce premier échec m'a marquer, car non seulement j'ai doublé, mais j'ai aussi pris beaucoup de poids, me réfugiant dans la nourriture, j'étais un gringalet avant, à m'en casser le poignet au scooter à la foire! Et tout à démarrer de l'échec de mes parents, je peux pas leurs en vouloir, s'occuper de 4 enfants dans un divorce, c'est pas facile, ma crise d'adolescence était plus tôt que prévue et je n'ai pas faciliter la tâche. Je tenais un journal intime à ce moment-là, c'est de là qu'est née ma petite passion de l'écriture, tout se que j'y écrivais était noir d'idée. J'ai finis par le brûler lorsque j'ai changer d'école, une sorte de délivrance, bien que les idées noirs étaient toujours présente, mais j'avais appris à les canaliser et à les contrôler et les utiliser à bon escient.
Voilà ce qu'il en est pour le premier échec, ça pèse beaucoup sur moi, mais j’apprends à vivre avec, je n'ai que ça à faire de toute manière.
Le deuxième échec est récent, et il s'appelle l'Amour. Après 17mois +/- de relation, ce fût le désastre total, etais-ce de sa faute, de la mienne? C'est de bonne guerre, je vais dire que c'est de la sienne et elle, de la mienne. Je n'ai juste pas su lui partager mon mal-être, je suis égoïste, j'ai voulu garder le poids que j'avais traîner déjà pendant longtemps, je ne voulais pas me reposer et partager ce poids là, peur de m'habituer à ce partage et de devoir recommencer cet apprentissage qui m'a servit à tenir jusque là. Je ne vais pas m'éterniser sur cet échec, il n'y à plutôt rien à dire dessus en réalité, ça n'a pas marcher pour diverse raison et je ne peux blâmer personne pour cela.
Voici le dernier échec en date, j'approche seulement d'un cinquième de siècle, 3 échec important, c'est déjà suffisant je trouve. Cet échec, je le traverse en ce moment-même, j'me suis gouré de vocation, d'option et je m'en suis rendu compte un peu tard. C'est rare de réussir du premier coup, vous devez d'abord faire le premier coup, voir où est le résultat et modifier la vitesse, la trajectoire pour petit à petit, atteindre le but voulu. Je me suis tromper, je rectifie ma direction, mais pour ça, je dois attendre le nouveau cycle de renaissance, entre temps, je me laisse crever à petit feu en cherchant un but dans ma vie, en cherchant des occupations, des engouements, des jouissances, mais rien n'y fait, je suis toujours à écrire des choses tout aussi déprimée les unes que les autres à des heures où les étudiants sont entrain de s'accoupler avec Morphée et font plein de petit bambin rêve.
Sur ce dernier échec, j'ai déjà des projets de renaissance, je ne vais pas me laisser traîner par la dépression, l'envie de ne plus bouger de mon lit, de vouloir dormir plus qu'un chat, je sais déjà vers quoi me tourner, alors le premier qui me dis que je suis un glandeur, écoute bien ce que je vais te dire. Je me suis toujours débrouiller pour donner le meilleur de moi-même, peu importe le domaine qui m'était confier. Lors des vacances étudiants, je travail et je reçois toujours des compliments des supérieurs, lors des travaux en secondaire de groupes, ou le TFE, j'ai donner le meilleur de moi-même, toujours et j'en ai reçu le prix du Jury à la fin de la rhétorique, je sais que ça na aucune valeur venu de l'école où je sors, mais c'est important pour moi ce prix du Jury, car j'ai été récompenser sentimentalement et vous savez combien je mise sur le sentimentale.
Lors de mon enterrement, il me faudra 2 cercueil, l'un pour moi, l'autre pour mon égo. Personne ne me jette de fleur, il faut bien que je le fasse moi-même pour me sentir moins seul.
Voilà donc les 3 grands échecs de ma vie jusqu'à maintenant, cet article, à la différence des autres, ne sera pas partager sur les réseaux sociaux, car c'est très personnel et très très peu de gens prennent la peine d'aller voir sur mon blog voir si de nouveaux articles ont été poster, car ils ont la curiosité et non la facilité d'attendre que je le partage. Ce qui veut dire que cet article ne sera probablement jamais lu par quiconque et c'est tant mieux!
Écouter un album de Pink Floyd et hop, l'inspiration me vient, enfin, non, ce n'est pas de l'inspiration, juste quelque chose dont j'aimerai vous parlez.
Mes échecs, j'aimerai vous en parlez, pour vous prouvez qu'à travers les chutes et les blessures existent toujours des leçons et qu'on finit toujours par se relever.
Le premier échec qui m'a fortement marqué à été mon échec scolaire de la 1ére secondaire, ça me hantera jusqu'à la fin de mes études. Cet échec, non pas que je repose toute la faute dessus, à été causé par le divorce de mes parents, ils n'ont pas divorcer lors de mon entrée en secondaire, non. C'était lors de la rentré de la 5éme primaire, j'ai même du quitter mon école de toujours, déménager et tomber dans une autre école, le 5-6 c'est bien passée, mais plus le temps passais, plus ce divorce m'enfonçait dans une profonde rébellion, pendant 2 ans, je l'avais caché, mais un jour, tout à exploser et l'élément déclencheur, ça été le changement du plus grand de la cour au plus petit.
Lors de cette année, je m'en foutais de tout, je répondais aux profs, leurs crachant limite à la figure, n'ouvrant mes cours que pour en arracher les pages et m'en servir d'allume-feu. A côté de ça, je prenais beaucoup de temps à m'amuser avec mes camardes de classe, j'étais le bouffon de la classe, celui qui faisait rire, j'aimais plutôt ce rôle là, car je n'avais encore aucune notion de l'échec cette année là.
Vous savez quel à été ma réaction lorsque j'ai vu mon nom dans les AOC, ceux qui passent pas du tout? J'ai rigolé et j'ai répondu à mes profs, à l'année prochaine alors!
Lorsque j'ai repassé cette année dans la même école, c'est là que je me suis rendu compte de ma fatale erreur, tomber avec d'autres personnes, plus jeunes que moi, ma rébellion était finie, mais le dépression l'avait remplacer, je me souviens, cette année là, l'envie de me couper les veines m'avaient beaucoup traverser l'esprit, mais j'étais encore trop faible pour passer à l'acte. J'ai passé cette année de peu, ils en avaient sans doute marre de moi et j'ai décidé de quitter cette école pour de bon, dont je ne regrette absolument pas, j'ai fais de belle rencontre, je dois l'accorder, mais ça s'arrête là.
Ce premier échec m'a marquer, car non seulement j'ai doublé, mais j'ai aussi pris beaucoup de poids, me réfugiant dans la nourriture, j'étais un gringalet avant, à m'en casser le poignet au scooter à la foire! Et tout à démarrer de l'échec de mes parents, je peux pas leurs en vouloir, s'occuper de 4 enfants dans un divorce, c'est pas facile, ma crise d'adolescence était plus tôt que prévue et je n'ai pas faciliter la tâche. Je tenais un journal intime à ce moment-là, c'est de là qu'est née ma petite passion de l'écriture, tout se que j'y écrivais était noir d'idée. J'ai finis par le brûler lorsque j'ai changer d'école, une sorte de délivrance, bien que les idées noirs étaient toujours présente, mais j'avais appris à les canaliser et à les contrôler et les utiliser à bon escient.
Voilà ce qu'il en est pour le premier échec, ça pèse beaucoup sur moi, mais j’apprends à vivre avec, je n'ai que ça à faire de toute manière.
Le deuxième échec est récent, et il s'appelle l'Amour. Après 17mois +/- de relation, ce fût le désastre total, etais-ce de sa faute, de la mienne? C'est de bonne guerre, je vais dire que c'est de la sienne et elle, de la mienne. Je n'ai juste pas su lui partager mon mal-être, je suis égoïste, j'ai voulu garder le poids que j'avais traîner déjà pendant longtemps, je ne voulais pas me reposer et partager ce poids là, peur de m'habituer à ce partage et de devoir recommencer cet apprentissage qui m'a servit à tenir jusque là. Je ne vais pas m'éterniser sur cet échec, il n'y à plutôt rien à dire dessus en réalité, ça n'a pas marcher pour diverse raison et je ne peux blâmer personne pour cela.
Voici le dernier échec en date, j'approche seulement d'un cinquième de siècle, 3 échec important, c'est déjà suffisant je trouve. Cet échec, je le traverse en ce moment-même, j'me suis gouré de vocation, d'option et je m'en suis rendu compte un peu tard. C'est rare de réussir du premier coup, vous devez d'abord faire le premier coup, voir où est le résultat et modifier la vitesse, la trajectoire pour petit à petit, atteindre le but voulu. Je me suis tromper, je rectifie ma direction, mais pour ça, je dois attendre le nouveau cycle de renaissance, entre temps, je me laisse crever à petit feu en cherchant un but dans ma vie, en cherchant des occupations, des engouements, des jouissances, mais rien n'y fait, je suis toujours à écrire des choses tout aussi déprimée les unes que les autres à des heures où les étudiants sont entrain de s'accoupler avec Morphée et font plein de petit bambin rêve.
Sur ce dernier échec, j'ai déjà des projets de renaissance, je ne vais pas me laisser traîner par la dépression, l'envie de ne plus bouger de mon lit, de vouloir dormir plus qu'un chat, je sais déjà vers quoi me tourner, alors le premier qui me dis que je suis un glandeur, écoute bien ce que je vais te dire. Je me suis toujours débrouiller pour donner le meilleur de moi-même, peu importe le domaine qui m'était confier. Lors des vacances étudiants, je travail et je reçois toujours des compliments des supérieurs, lors des travaux en secondaire de groupes, ou le TFE, j'ai donner le meilleur de moi-même, toujours et j'en ai reçu le prix du Jury à la fin de la rhétorique, je sais que ça na aucune valeur venu de l'école où je sors, mais c'est important pour moi ce prix du Jury, car j'ai été récompenser sentimentalement et vous savez combien je mise sur le sentimentale.
Lors de mon enterrement, il me faudra 2 cercueil, l'un pour moi, l'autre pour mon égo. Personne ne me jette de fleur, il faut bien que je le fasse moi-même pour me sentir moins seul.
Voilà donc les 3 grands échecs de ma vie jusqu'à maintenant, cet article, à la différence des autres, ne sera pas partager sur les réseaux sociaux, car c'est très personnel et très très peu de gens prennent la peine d'aller voir sur mon blog voir si de nouveaux articles ont été poster, car ils ont la curiosité et non la facilité d'attendre que je le partage. Ce qui veut dire que cet article ne sera probablement jamais lu par quiconque et c'est tant mieux!
Et bien, moi, je l'aurais lu sans que tu me dises que tu l'as écris. Bonne soirée (:
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