A toi, l'ami.
Me revoilà devant une page blanche, après une bonne petite soirée avec un cercle très restreint et je peux vous dire, que j'ai un contre-coup énorme, je suis content de rentrer car la fatigue de me lever pour signer un examen pour ne pas à avoir rembourser une bourse d'étude déjà utilisée me fatigue, (en prenant compte qu'il est pour moi, impossible de m'en dormir une fois levé, sauf si je reste en pyjama (en slip donc)) se fait ressentir, passer des grasses matinée à la matinée 0% calorie, c'est dur!
Le contre-coup de la solitude, j'ai des amis fantastiques, malgré mes erreurs, ils sont toujours là, malgré mon humour à la Bing, ils me supportent encore, je me suis toujours dis seul car je ne vois qu'à travers l'Amour, mais petit à petit, je me rend compte qu'il y à aussi l'amitié, qu'on ne peut pas mettre de côté une fois l'Amour trouver, comme je l'ai déjà fait une fois, ça ne m'a rien apporter du tout.
Je voudrais dédicacé cet article à mes amis, non, pas vous les pseudos-ami qui me nie en rue et vienne me trouver sur facebook en me demandant si c'était bien moi et me dire ah désolé, prochaine fois j'te dirai bonjour et une fois cette prochaine fois atteinte, le niage est de mise, again! Je parle des vrais, ceux qui m'écoute quand je me confesse et ils savent que c'est très rare chez moi, j'ai plus facile à me confesser sur un blog qui est ouvert à tout public plutôt qu'à eux.
Je ne fais que parler de chose déprimante et malheureuse sur ce blog, pour une fois, j'aimerai parler de quelque chose de bien, de joviale, qui nous procure du bonheur, du bien-être. Si je pouvais, je resterai avec eux plus longtemps, mais j'aurai bien du mal avec cette petite voix qui résonne dans ma tête et qui me rappel que j'aime bien être seul aussi par moment.
Cet article ne sera pas aussi génialissime que les autres, mon style, il est noir, déprimant, ici c'est tout le contraire, j'essaie juste de leurs faire comprendre que malgré ma carapace, je les aimes, je leurs dis ça, que je les aime, mais je finis toujours cette phrase par un rire, comme si je n'en pensais pas un piètre mot, alors que je le pense véritablement !
En réalité, je ne vais pas aller plus loin, je n'ai plus rien d'autre à dire sur ce sujet, je me sens pas encore prêt à écrire des choses amusante, qui donne le sourire, j'ai envie de faire pleurer, de faire mal. Je finirai sur ces quelques mots qui sont plus souvent penser comme des bonjours ou des "Salut, on baise" à notre époque, je vous aime, mes ami(e)s, ne m'abandonner pas, vous faites partie de cette fine ficelle mais pourtant très solide qui me maintient en vie. Merci & De rien!
Le contre-coup de la solitude, j'ai des amis fantastiques, malgré mes erreurs, ils sont toujours là, malgré mon humour à la Bing, ils me supportent encore, je me suis toujours dis seul car je ne vois qu'à travers l'Amour, mais petit à petit, je me rend compte qu'il y à aussi l'amitié, qu'on ne peut pas mettre de côté une fois l'Amour trouver, comme je l'ai déjà fait une fois, ça ne m'a rien apporter du tout.
Je voudrais dédicacé cet article à mes amis, non, pas vous les pseudos-ami qui me nie en rue et vienne me trouver sur facebook en me demandant si c'était bien moi et me dire ah désolé, prochaine fois j'te dirai bonjour et une fois cette prochaine fois atteinte, le niage est de mise, again! Je parle des vrais, ceux qui m'écoute quand je me confesse et ils savent que c'est très rare chez moi, j'ai plus facile à me confesser sur un blog qui est ouvert à tout public plutôt qu'à eux.
Je ne fais que parler de chose déprimante et malheureuse sur ce blog, pour une fois, j'aimerai parler de quelque chose de bien, de joviale, qui nous procure du bonheur, du bien-être. Si je pouvais, je resterai avec eux plus longtemps, mais j'aurai bien du mal avec cette petite voix qui résonne dans ma tête et qui me rappel que j'aime bien être seul aussi par moment.
Cet article ne sera pas aussi génialissime que les autres, mon style, il est noir, déprimant, ici c'est tout le contraire, j'essaie juste de leurs faire comprendre que malgré ma carapace, je les aimes, je leurs dis ça, que je les aime, mais je finis toujours cette phrase par un rire, comme si je n'en pensais pas un piètre mot, alors que je le pense véritablement !
En réalité, je ne vais pas aller plus loin, je n'ai plus rien d'autre à dire sur ce sujet, je me sens pas encore prêt à écrire des choses amusante, qui donne le sourire, j'ai envie de faire pleurer, de faire mal. Je finirai sur ces quelques mots qui sont plus souvent penser comme des bonjours ou des "Salut, on baise" à notre époque, je vous aime, mes ami(e)s, ne m'abandonner pas, vous faites partie de cette fine ficelle mais pourtant très solide qui me maintient en vie. Merci & De rien!
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