" La patience est une vertu qui s’acquiert avec de la patience "
Bonsoir,
Je voulais vous parlez de quelques choses en ce jour froid, j'étais paisiblement entrain de regarder un épisode d'une série, dans mon divan, couvert d'un plaid de couleur pourpre me tenant bien chaud, avec une tasse rempli d'un thé au citron, histoire de me réchauffer le corps et le coeur. J'ai regardé par mes super grande fenêtre et j'ai vu un ciel gris, menaçant, annonçant le froid et une saison des plus rude.
J'ai souris à ce moment-là, car cette saison est la pire de l'année, l'absence de soleil, de chaleur en étant seul, n'annonce rien de bon, dans la plus part des cas, ça annonce aussi une déprime passagère, permanente pour d'autre. Je n'ai pas souris car je sentais que ça allait m'arriver, non, j'ai souris car je me suis dis, tiens il serait bien de faire passer un message au peu de gens qui me lisent, d'en rassurer d'autre.
Je me sens seul, oui et cette saison ne va pas m'aider à aller mieux il faudra donc que je trouve un autre moyen d'aller mieux, mais là n'est pas la question. Je me rassure en me disant avec conviction et foi que là, dehors, il existe une personne qui me conviens, avec qui je pourrai vivre une formidable histoire, là dehors, il existe une femme pour qui je donnerai tout ce que j'ai et qui en ferait pareil envers moi. Ça, les amis, c'est ce qu'on appel l'espoir, je n'aurai pas cru le revoir un jour, surtout pas en cette période car dans 1 mois, je fêterai l'anniversaire de ma plus grande déception amoureuse, au départ, je ne voulais pas fêter cet événement, je voulais rester enfermer chez moi, avec une bouteille d'alcool, mais j'ai décidé de le fêter et de la plus belle manière qu'il soit.
Non, je ne vais pas sortir avec mes amis pour me bourrer la gueule ou quoi que ce soit, je vais tout simplement sourire, garder la tête haute et vivre ma vie tout en gardant espoir qu'un jour, je sois remercier par la vie.
Elle ne viendra peut-être pas demain, ni dans 1 an, ni dans 5, même jamais, mais je m'en contre fiche, le mieux à faire est de ne pas attendre, de continuer à avancer, à vivre, car si je reste immobile en étant tout seul, attendre cette personne, je vais de nouveau mettre cette personne en avant, mettre 500% de mon énergie pour elle et ça sera de nouveau vouer à l'échec, mettant de côté tout mes amis, ma famille et mon travail.
Récemment, j'ai avoué mon intérêt pour une fille, je n'ai eu aucune réponse, oui, ça m'a blessé, et ça me blesse, mais il faut en rire, se dire que tant pis, c'est pas la bonne et puis entre vous et moi, elle ne sait pas ce qu'elle rate !
On m'a déjà demander d'où me venait la force de sourire chaque jour en ayant vécu pas mal de chose à mon âge, je ne sais jamais quoi répondre et toujours pas maintenant, mais je pense que l'espoir fait partie intégrante de ma réponse.
Et il faut aussi se dire que là, dehors, il existe toujours une personne qui a vécu et vit des choses plus horribles que sois et qu'il n'y à pas lieu d'être négatif et de dire que la vie ne vaut pas la peine d'être vécue.
N.B. : Citation dans le titre de Alessandro Morandotti
Je voulais vous parlez de quelques choses en ce jour froid, j'étais paisiblement entrain de regarder un épisode d'une série, dans mon divan, couvert d'un plaid de couleur pourpre me tenant bien chaud, avec une tasse rempli d'un thé au citron, histoire de me réchauffer le corps et le coeur. J'ai regardé par mes super grande fenêtre et j'ai vu un ciel gris, menaçant, annonçant le froid et une saison des plus rude.
J'ai souris à ce moment-là, car cette saison est la pire de l'année, l'absence de soleil, de chaleur en étant seul, n'annonce rien de bon, dans la plus part des cas, ça annonce aussi une déprime passagère, permanente pour d'autre. Je n'ai pas souris car je sentais que ça allait m'arriver, non, j'ai souris car je me suis dis, tiens il serait bien de faire passer un message au peu de gens qui me lisent, d'en rassurer d'autre.
Je me sens seul, oui et cette saison ne va pas m'aider à aller mieux il faudra donc que je trouve un autre moyen d'aller mieux, mais là n'est pas la question. Je me rassure en me disant avec conviction et foi que là, dehors, il existe une personne qui me conviens, avec qui je pourrai vivre une formidable histoire, là dehors, il existe une femme pour qui je donnerai tout ce que j'ai et qui en ferait pareil envers moi. Ça, les amis, c'est ce qu'on appel l'espoir, je n'aurai pas cru le revoir un jour, surtout pas en cette période car dans 1 mois, je fêterai l'anniversaire de ma plus grande déception amoureuse, au départ, je ne voulais pas fêter cet événement, je voulais rester enfermer chez moi, avec une bouteille d'alcool, mais j'ai décidé de le fêter et de la plus belle manière qu'il soit.
Non, je ne vais pas sortir avec mes amis pour me bourrer la gueule ou quoi que ce soit, je vais tout simplement sourire, garder la tête haute et vivre ma vie tout en gardant espoir qu'un jour, je sois remercier par la vie.
Elle ne viendra peut-être pas demain, ni dans 1 an, ni dans 5, même jamais, mais je m'en contre fiche, le mieux à faire est de ne pas attendre, de continuer à avancer, à vivre, car si je reste immobile en étant tout seul, attendre cette personne, je vais de nouveau mettre cette personne en avant, mettre 500% de mon énergie pour elle et ça sera de nouveau vouer à l'échec, mettant de côté tout mes amis, ma famille et mon travail.
Récemment, j'ai avoué mon intérêt pour une fille, je n'ai eu aucune réponse, oui, ça m'a blessé, et ça me blesse, mais il faut en rire, se dire que tant pis, c'est pas la bonne et puis entre vous et moi, elle ne sait pas ce qu'elle rate !
On m'a déjà demander d'où me venait la force de sourire chaque jour en ayant vécu pas mal de chose à mon âge, je ne sais jamais quoi répondre et toujours pas maintenant, mais je pense que l'espoir fait partie intégrante de ma réponse.
Et il faut aussi se dire que là, dehors, il existe toujours une personne qui a vécu et vit des choses plus horribles que sois et qu'il n'y à pas lieu d'être négatif et de dire que la vie ne vaut pas la peine d'être vécue.
N.B. : Citation dans le titre de Alessandro Morandotti
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