Toc toc toc ! Qui est là? C'est la Vie !
Je peux toucher la noirceur de ma pénombre du bout des doigts, je peux la goûter, la sentir m'envahir d'amertume et de haine. Qu'ais-je fais pour mériter un tel châtiment? La mort serait une délivrance comparer à ce triste sort...
Elle est si bonne et mauvaise à la fois, son goût m’envoûte la bouche et mes papilles gustative, mais c'est une fois dans mon organisme que le mauvais côté de cette merveilleuse chose entre en jeu, elle brûle l'œsophage jusqu'à stagner dans l'estomac et y tuer toute trace de papillon, elle vous paralyse, elle vous tétanise. Elle vous fait aimer la mort car seule cette dernière pourrait vous sauver... Paradoxe vous dites? Bienvenu sur Terre !
Pleurer ne sert désormais plus à rien, car à quoi bon pleurer quand personne ne peut entendre votre détresse. Je suis né pour être le messager de la mort et de la pénombre, lance moi une faux et j'en deviens la Mort elle-même prête à parcourir ciel et terre pour éteindre l'âme de plusieurs milliers d'être humain par jour et de rentrer le soir avec mes gosses et ma femme comme si de rien n'était avec leurs regards interrogateur sur cette fine couche de cendre sur le haut de la tête et les épaules, c'est un lourd fardeau que je porte là.
Je veux rentrer à la maison, enlever cet uniforme et quitter le show, je veux pousser la porte et laisser la lumière me submerger. Pourquoi est-ce que mort et noirceur sortent de mes mains et mon clavier, peut importe le bonheur qu'il puisse exister autour de moi?
Serais-ce parce que j'ai adopté la pénombre et quoi que je fasse, cette dernière demeurera à jamais en moi ? J'aurai beau vouloir la chasser à coup de lampe torche, elle évitera toujours un contact avec la lumière, elle est maligne, elle sait comment se cacher de la lumière !
Ma plume se défait de son Or si brillant, je regarde autour de moi et vous savez ce que je vois? Rien, strictement rien, c'est vide de déprime et désarrois... Le Noir redevient maître des lieux, ma lumière s'est éteinte, elle s'est enfuie sans prévenir, elle ma foutu 2-3 gifles et un gros fuck en pleine poire en me ricanant au visage. Comment se faire violer par la vie ! Elle ma violer par toutes les aortes possible, je saigne et j'ai aucun moyen de défense...
Me revoilà dans ma cabane, pénard, seul, au chaud, protéger de toutes attaques sociales, Je serai toujours attiré par cette cabane au fond du jardin, caché sous un tas de verdure, signe d'une flemmardise à vouloir la rendre attrayante, et puis, non, ça ferait entrer la lumière ! Et pourtant, mon regard ne cesse de porter sur cette porte, j'y ai laissé quelque chose derrière celle-ci, mon âme, elle crie après moi mais je ne veux rien entendre, je veux dormir paisiblement pour ne jamais me réveiller...
Je n'ai plus qu'à commencer de creuser mon trou sans fin ni faim, ma mère adoptive.
Elle est si bonne et mauvaise à la fois, son goût m’envoûte la bouche et mes papilles gustative, mais c'est une fois dans mon organisme que le mauvais côté de cette merveilleuse chose entre en jeu, elle brûle l'œsophage jusqu'à stagner dans l'estomac et y tuer toute trace de papillon, elle vous paralyse, elle vous tétanise. Elle vous fait aimer la mort car seule cette dernière pourrait vous sauver... Paradoxe vous dites? Bienvenu sur Terre !
Pleurer ne sert désormais plus à rien, car à quoi bon pleurer quand personne ne peut entendre votre détresse. Je suis né pour être le messager de la mort et de la pénombre, lance moi une faux et j'en deviens la Mort elle-même prête à parcourir ciel et terre pour éteindre l'âme de plusieurs milliers d'être humain par jour et de rentrer le soir avec mes gosses et ma femme comme si de rien n'était avec leurs regards interrogateur sur cette fine couche de cendre sur le haut de la tête et les épaules, c'est un lourd fardeau que je porte là.
Je veux rentrer à la maison, enlever cet uniforme et quitter le show, je veux pousser la porte et laisser la lumière me submerger. Pourquoi est-ce que mort et noirceur sortent de mes mains et mon clavier, peut importe le bonheur qu'il puisse exister autour de moi?
Serais-ce parce que j'ai adopté la pénombre et quoi que je fasse, cette dernière demeurera à jamais en moi ? J'aurai beau vouloir la chasser à coup de lampe torche, elle évitera toujours un contact avec la lumière, elle est maligne, elle sait comment se cacher de la lumière !
Ma plume se défait de son Or si brillant, je regarde autour de moi et vous savez ce que je vois? Rien, strictement rien, c'est vide de déprime et désarrois... Le Noir redevient maître des lieux, ma lumière s'est éteinte, elle s'est enfuie sans prévenir, elle ma foutu 2-3 gifles et un gros fuck en pleine poire en me ricanant au visage. Comment se faire violer par la vie ! Elle ma violer par toutes les aortes possible, je saigne et j'ai aucun moyen de défense...
Me revoilà dans ma cabane, pénard, seul, au chaud, protéger de toutes attaques sociales, Je serai toujours attiré par cette cabane au fond du jardin, caché sous un tas de verdure, signe d'une flemmardise à vouloir la rendre attrayante, et puis, non, ça ferait entrer la lumière ! Et pourtant, mon regard ne cesse de porter sur cette porte, j'y ai laissé quelque chose derrière celle-ci, mon âme, elle crie après moi mais je ne veux rien entendre, je veux dormir paisiblement pour ne jamais me réveiller...
Je n'ai plus qu'à commencer de creuser mon trou sans fin ni faim, ma mère adoptive.
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