Bone to dust
Il existe un dicton qui dit, que pour vivre heureux, il faut vivre caché... Plus le temps passe et plus j'ai envie de me caché dans mon terrier pour ne jamais en sortir, j'ai envie de faire un suicide social et devenir un ermite, j'ai envie de supprimer toute trace de moi sur les réseaux sociaux, j'ai envie de devenir poussière.
Ce dicton, je vais essayé de le mettre en oeuvre, c'est mieux d'être à 2 pour vivre caché, mais dans mon cas, je suis seul, j'ai plus de place dans ma grotte ainsi. je vais dans un premier temps, nettoyer tout ce que j'estime nécessaire de ne pas être affiché sur les réseaux sociaux et par la même occasion, décrocher de mon PC et m'acheter une bibliothèque, la monter et la remplir petit à petit de livre. J'arrive à un stade où voir le "bonheur" des autres ne fait que me renfoncer dans mon trou, où voir ces conneries sur un certain réseau social me gonfle au plus haut point que j'en deviens de plus en plus aigri et haineux face à ces gens-là, parce que ces gens-là, ils ne pensent pas, non monsieur.
Je sors ma pelle et je déterre ma hache de guerre, c'est eux contre moi, l'affrontement final. Je préfère mourir en agissant que vivre en subissant. Vous savez ce qui met la grosse cerise sur le gâteau ? C'est que je n'ai même plus cette envie de m'enfuir sous les jeux-vidéos, je ne joue plus à rien alors que j'ai presque 150 jeux et aucun ne me conviens. Le seul qui pourrait m'aller, c'est un simulateur de bonheur, j'en deviendrai dépendant, mais là est ma faiblesse, je recherche tellement et éperdument le bonheur que j'en deviens fou et incompréhensible par mes actes et mes paroles. Ce bonheur, je le cherche avec une longue veste noir et ce regard gris, c'est presque impossible, mon esprit essaie peut-être de me faire comprendre quelque chose, qu'en ce moment, il serait mieux de se retirer de la vie social et d'hiberner enfuit six pieds sous terre et de ne rien attendre de la vie, de ne rien chercher.
J'irai bien m'installer sur le côté obscure de la Lune, ainsi, je serai dans mon élément le plus complet et le plus hospitalier, de plus, je pourrai voir le monde brûler et c'est là que je lancerai cette fameuse phrase, dont tout le monde rêve de dire : " Je te l'avais bien dis. ", cette phrase destructive de regret en pleine face.
M'effacer complètement de ce milieu hostile, je ne saurai pas, je reste un être-humain, je me dois de garder un minimum de contact social avec ce que l'on appelle dans le monde normal, mes amis. Je me dois d'accepter certaines sorties pour prendre un peu d'air, avoir cette excuse pour boire et me rassurer de ne pas être dépendant du malheur, avoir cette petite lueur de vouloir m'en sortir, m'échapper de ce labyrinthe alors qu'au fond, je me dis qu'au finale, être seul dans ce labyrinthe m'exempte des mauvaises chose de la vie.
C'est un sacrifice, car je fais aussi une croix sur les bonnes choses, j'ai pris la décision de me mettre le canon sur la tempe, j'ai encore très peur d'appuyer sur la détente, espérons que quelqu'un vienne me sauver avant d'y mettre une pression. C'est à elle de me trouver, j'ai les mains sales et pleine de sang, j'ai troqué mon détecteur de bonheur contre un casier de bière et une chaise longue. je pense avoir fait le troque du siècle, il n'était plus fonctionnel de toute manière, car il détectait du bonheur là où il n'y en avait pas et vise-versa.
La fin d'année 2014 approche à très grand pas, je reste sur ma faim, le début était majestueux, la fin en est désastreuse. On ma feint le bonheur, on m'a promis des choses qui, vous vous en doutez, n'ont pas été mener à bien. On m'a mentit, terriblement, mais d'un autre côté, j'ai découvert de nouvelle chose, qui me seront utile pour l'année prochaine. Il ne me reste plus qu'à me laisser aller sur ce long fleuve, il ne me sert à rien de me battre contre le courant et de vouloir nager à contre sens ou de vouloir rejoindre la rive, la chute arrive, pour donner naissance à une autre rivière, qui, j'espère sera plus calme et plus douce que la précédente.
Ce dicton, je vais essayé de le mettre en oeuvre, c'est mieux d'être à 2 pour vivre caché, mais dans mon cas, je suis seul, j'ai plus de place dans ma grotte ainsi. je vais dans un premier temps, nettoyer tout ce que j'estime nécessaire de ne pas être affiché sur les réseaux sociaux et par la même occasion, décrocher de mon PC et m'acheter une bibliothèque, la monter et la remplir petit à petit de livre. J'arrive à un stade où voir le "bonheur" des autres ne fait que me renfoncer dans mon trou, où voir ces conneries sur un certain réseau social me gonfle au plus haut point que j'en deviens de plus en plus aigri et haineux face à ces gens-là, parce que ces gens-là, ils ne pensent pas, non monsieur.
Je sors ma pelle et je déterre ma hache de guerre, c'est eux contre moi, l'affrontement final. Je préfère mourir en agissant que vivre en subissant. Vous savez ce qui met la grosse cerise sur le gâteau ? C'est que je n'ai même plus cette envie de m'enfuir sous les jeux-vidéos, je ne joue plus à rien alors que j'ai presque 150 jeux et aucun ne me conviens. Le seul qui pourrait m'aller, c'est un simulateur de bonheur, j'en deviendrai dépendant, mais là est ma faiblesse, je recherche tellement et éperdument le bonheur que j'en deviens fou et incompréhensible par mes actes et mes paroles. Ce bonheur, je le cherche avec une longue veste noir et ce regard gris, c'est presque impossible, mon esprit essaie peut-être de me faire comprendre quelque chose, qu'en ce moment, il serait mieux de se retirer de la vie social et d'hiberner enfuit six pieds sous terre et de ne rien attendre de la vie, de ne rien chercher.
J'irai bien m'installer sur le côté obscure de la Lune, ainsi, je serai dans mon élément le plus complet et le plus hospitalier, de plus, je pourrai voir le monde brûler et c'est là que je lancerai cette fameuse phrase, dont tout le monde rêve de dire : " Je te l'avais bien dis. ", cette phrase destructive de regret en pleine face.
M'effacer complètement de ce milieu hostile, je ne saurai pas, je reste un être-humain, je me dois de garder un minimum de contact social avec ce que l'on appelle dans le monde normal, mes amis. Je me dois d'accepter certaines sorties pour prendre un peu d'air, avoir cette excuse pour boire et me rassurer de ne pas être dépendant du malheur, avoir cette petite lueur de vouloir m'en sortir, m'échapper de ce labyrinthe alors qu'au fond, je me dis qu'au finale, être seul dans ce labyrinthe m'exempte des mauvaises chose de la vie.
C'est un sacrifice, car je fais aussi une croix sur les bonnes choses, j'ai pris la décision de me mettre le canon sur la tempe, j'ai encore très peur d'appuyer sur la détente, espérons que quelqu'un vienne me sauver avant d'y mettre une pression. C'est à elle de me trouver, j'ai les mains sales et pleine de sang, j'ai troqué mon détecteur de bonheur contre un casier de bière et une chaise longue. je pense avoir fait le troque du siècle, il n'était plus fonctionnel de toute manière, car il détectait du bonheur là où il n'y en avait pas et vise-versa.
La fin d'année 2014 approche à très grand pas, je reste sur ma faim, le début était majestueux, la fin en est désastreuse. On ma feint le bonheur, on m'a promis des choses qui, vous vous en doutez, n'ont pas été mener à bien. On m'a mentit, terriblement, mais d'un autre côté, j'ai découvert de nouvelle chose, qui me seront utile pour l'année prochaine. Il ne me reste plus qu'à me laisser aller sur ce long fleuve, il ne me sert à rien de me battre contre le courant et de vouloir nager à contre sens ou de vouloir rejoindre la rive, la chute arrive, pour donner naissance à une autre rivière, qui, j'espère sera plus calme et plus douce que la précédente.
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