Madame la Faucheuse.
Vous savez de quoi j'aimerai vous parlez ce soir? La Mort, non pas la mort comme je l'imagine, comme je l'envie par certains moments... Ce soir, j'ai envie de vous faire part de ma vision de la mort, à quel point j'ai peur de me faire faucher par un camion du jour au lendemain, sans avoir pu barrer plus de la moitié de ma liste de rêve.
J'ai souvent, beaucoup plus ces derniers temps, cette peur qui m'anime, j'imagine très souvent perdre la vie et à quoi ressemblerait la vie de mes proches sans la mienne, serait-ils mieux? Tristes? Anéantis? Heureux? Je meurs d'envie de feindre ma mort et d'assister à mon enterrement, si vous saviez... Je mise beaucoup sur l'image que les autres ont de moi, alors que je ne devrais pas, mais c'est ainsi. J'imagine aussi, sur le moment où je me vois mourir, quels regrets j'aurais sur le moment même.
J'ai souvent, beaucoup plus ces derniers temps, cette peur qui m'anime, j'imagine très souvent perdre la vie et à quoi ressemblerait la vie de mes proches sans la mienne, serait-ils mieux? Tristes? Anéantis? Heureux? Je meurs d'envie de feindre ma mort et d'assister à mon enterrement, si vous saviez... Je mise beaucoup sur l'image que les autres ont de moi, alors que je ne devrais pas, mais c'est ainsi. J'imagine aussi, sur le moment où je me vois mourir, quels regrets j'aurais sur le moment même.
L'un d'entres ceux serait, indéniablement, le faite de ne pas dire souvent à mes proches, si pas jamais, que je les aimes, à mes amis également. Je suis ce genre de personne qui dit " t'en fais pas, on va se voir bientôt pour boire une bière et rire " et au finale, après des semaines, mois, années, toujours rien... Un autre de mes regrets serait aussi de ne pas avoir marquer une personne en particulier, assez pour qu'elle passe outre les mauvaises passes de la vie, j'ai beau être une personne extraordinaire, formidable, comme peu d'entre-vous me le dise, mais pourquoi n'ais-je personne à enlacer ? Pourquoi n'ais-je personne à qui je peux donner toute ma confiance ? Pourquoi je me sens... si seul? Je sais qu'on est amener à mourir seul, quoi qu'il arrive, mais je préfère encore être sur une chaise électrique et voir à travers une vitre mes proches lors du dernier souffle, plutôt qu'écraser dans une voiture ou un cancer, ou que sais-je encore ! Il y à des millions de façon de mourir.
Le regret que j'aurai aussi, c'est de ne pas avoir pu fonder une famille, moi qui en rêve depuis tout petit, oui, comme les petites filles, déjà dans les bacs à sable, je rêvais de ma princesse et de pouvoir perpétuer mon nom de famille dans les années à venir, avoir un être qui possède ma chair et mon sang et ce lien parent-enfant qui doit être si formidable et puis se lever chaque matin, voir la personne que l'on admire, que l'on aime à côté de sois, ou encore, voir le lit vide, mais sentir une douce odeur de café fraîchement préparé et des pancakes et tu descends les escaliers, déjà de bonne humeur car tu sais que tu vas la voir et que rien n'est plus précieux au monde que son sourire.
L'un de mes autres regrets que je pourrai avoir, c'est de ne pas avoir quitter la Belgique, je l'ai quitté que quelques fois lors de vacances et c'était avec mon père, je n'ai jamais fais un voyage par moi-même, avec des amis, ou encore visiter des choses. La seule chose que j'ai visité, c'est le Carré et je le connais aussi bien que ma poche, avec ça, je peux pas dire que j'ai réussi ma jeunesse. Si il vous prenait l'envie de m'inviter pour visiter quoi que ce soit, pas la peine de vous posez la question suivant, " tiens, qu'est-ce que je pourrai lui faire visiter pour l'étonner, l'émerveiller? ", la réponse est, TOUT, je meurs de curiosité, je meurs d'envie de me perdre dans un bois dans le nord de l'Amérique, je meurs d'envie de voir ces aurores boréales, je meurs d'envie de voir la nature dans son état aussi proche que naturel !
Tiens, un autre regret, ne pas avoir été plus franc, plus dur et plus ferme, j'ai toujours été trop gentil et petit à petit, cela me perd, je vis en ce moment une sorte de mutation, j'ai d'ailleurs vécu une expérience la semaine dernière où il y à quelques semaines, mois, années, je n'aurai jamais été capable de faire et qui je dois dire, m'a légèrement aider dans mon processus de guérison, car il m'a montrer qu'on ne vit qu'une fois et qu'à n'importe quel moment, je peux m'éteindre, comme une simple machine à café qu'on amène dans un recyparc car elle ne fonctionne plus.
Lorsque j'imagine le moment de ma mort, j'ai une peur qui m'envoûte et me force à vouloir changer, à faire du sport ou encore à me battre pour quelqu'un, ou quelque chose, qui me motive en somme à rester vivant, mais qui suis-je pour décider de mon heure ? La Faucheuse est déjà peut-être proche de moi et je n'en sais rien. Elle n'est peut-être qu'à un bras tendu de moi et ça, c'est horrible comme sentiment, car j'ai cette habitude de repousser au lendemain ce que je peux faire au lendemain et si en ce jour, c'était mon dernier jour et que j'ai repousser à demain des tâches, des choses à dire, à penser ?
Ce dont j'ai le plus peur, c'est de n'avoir marquer personne autour de moi, c'est de tomber à l'oubliette après quelques temps, c'est de voir les fleurs sur ma tombe faner à petit feu et que personne ne vienne les remplacer par des nouvelles, c'est de voir qu'au finale, que je sois mors, ne change rien au quotidien de mon entourage. Ne venez pas me trouver en me disant que si, je vous ai marquer, si on vient vous annoncez, demain, que je suis mors, vous serez triste, vous verserez une larme, ou une flaque, mais après des années, on pourra en reparler voir si vous pensiez encore à moi... J'ai peur de tomber dans l'oubliette comme mes ancêtres, comme les vôtres... Un peu pour ça que viens ma curiosité de l'Histoire je pense, vouloir me souvenir d'eux.
Vous savez où je me vois dans une dizaine d'année? Nul part, alors que d'habitude, je me vois vivre mon rêve de vie de famille parfaite, avec ma p'tite auto, ma p'tite femme et mes p'tits enfants. Ce n'est que du noir que je vois, du vide, du néant, cela voudrait-il dire que je serais mort avant une dizaine d'année? Le temps nous le dira, le temps nous dira tout. On me dit souvent que le temps est très important pour quoi que ce soit dans la vie, qu'il peut guérir des blessures, réparer, oublier, aider et tout autre mots qui veulent dire la même chose, le temps... Et si j'en ai plus beaucoup du temps? Et si demain était mon dernier jour ? Mon dernier repas aurait été... Rien ? Ma dernière pensée aurait été la mort ? Mon dernier geste aurait été de m'en griller une en me répétant dans la tête, " il faut que t'arrête mec, c'est pas bon pour ta santé " et je continue malgré tout à m'en griller une ! Mon dernier acte aurait été un échec, tout comme ma dernière relation...
Pour clore ce chapitre, un dernier regret... Ça serait de me poser beaucoup trop de question sans chercher à y répondre.
Au revoir mes lecteurs, ou Adieu, qui sait?
P.S.: Je suis pas du genre à me relire pour corriger les fautes. Deal with it !
Le regret que j'aurai aussi, c'est de ne pas avoir pu fonder une famille, moi qui en rêve depuis tout petit, oui, comme les petites filles, déjà dans les bacs à sable, je rêvais de ma princesse et de pouvoir perpétuer mon nom de famille dans les années à venir, avoir un être qui possède ma chair et mon sang et ce lien parent-enfant qui doit être si formidable et puis se lever chaque matin, voir la personne que l'on admire, que l'on aime à côté de sois, ou encore, voir le lit vide, mais sentir une douce odeur de café fraîchement préparé et des pancakes et tu descends les escaliers, déjà de bonne humeur car tu sais que tu vas la voir et que rien n'est plus précieux au monde que son sourire.
L'un de mes autres regrets que je pourrai avoir, c'est de ne pas avoir quitter la Belgique, je l'ai quitté que quelques fois lors de vacances et c'était avec mon père, je n'ai jamais fais un voyage par moi-même, avec des amis, ou encore visiter des choses. La seule chose que j'ai visité, c'est le Carré et je le connais aussi bien que ma poche, avec ça, je peux pas dire que j'ai réussi ma jeunesse. Si il vous prenait l'envie de m'inviter pour visiter quoi que ce soit, pas la peine de vous posez la question suivant, " tiens, qu'est-ce que je pourrai lui faire visiter pour l'étonner, l'émerveiller? ", la réponse est, TOUT, je meurs de curiosité, je meurs d'envie de me perdre dans un bois dans le nord de l'Amérique, je meurs d'envie de voir ces aurores boréales, je meurs d'envie de voir la nature dans son état aussi proche que naturel !
Tiens, un autre regret, ne pas avoir été plus franc, plus dur et plus ferme, j'ai toujours été trop gentil et petit à petit, cela me perd, je vis en ce moment une sorte de mutation, j'ai d'ailleurs vécu une expérience la semaine dernière où il y à quelques semaines, mois, années, je n'aurai jamais été capable de faire et qui je dois dire, m'a légèrement aider dans mon processus de guérison, car il m'a montrer qu'on ne vit qu'une fois et qu'à n'importe quel moment, je peux m'éteindre, comme une simple machine à café qu'on amène dans un recyparc car elle ne fonctionne plus.
Lorsque j'imagine le moment de ma mort, j'ai une peur qui m'envoûte et me force à vouloir changer, à faire du sport ou encore à me battre pour quelqu'un, ou quelque chose, qui me motive en somme à rester vivant, mais qui suis-je pour décider de mon heure ? La Faucheuse est déjà peut-être proche de moi et je n'en sais rien. Elle n'est peut-être qu'à un bras tendu de moi et ça, c'est horrible comme sentiment, car j'ai cette habitude de repousser au lendemain ce que je peux faire au lendemain et si en ce jour, c'était mon dernier jour et que j'ai repousser à demain des tâches, des choses à dire, à penser ?
Ce dont j'ai le plus peur, c'est de n'avoir marquer personne autour de moi, c'est de tomber à l'oubliette après quelques temps, c'est de voir les fleurs sur ma tombe faner à petit feu et que personne ne vienne les remplacer par des nouvelles, c'est de voir qu'au finale, que je sois mors, ne change rien au quotidien de mon entourage. Ne venez pas me trouver en me disant que si, je vous ai marquer, si on vient vous annoncez, demain, que je suis mors, vous serez triste, vous verserez une larme, ou une flaque, mais après des années, on pourra en reparler voir si vous pensiez encore à moi... J'ai peur de tomber dans l'oubliette comme mes ancêtres, comme les vôtres... Un peu pour ça que viens ma curiosité de l'Histoire je pense, vouloir me souvenir d'eux.
Vous savez où je me vois dans une dizaine d'année? Nul part, alors que d'habitude, je me vois vivre mon rêve de vie de famille parfaite, avec ma p'tite auto, ma p'tite femme et mes p'tits enfants. Ce n'est que du noir que je vois, du vide, du néant, cela voudrait-il dire que je serais mort avant une dizaine d'année? Le temps nous le dira, le temps nous dira tout. On me dit souvent que le temps est très important pour quoi que ce soit dans la vie, qu'il peut guérir des blessures, réparer, oublier, aider et tout autre mots qui veulent dire la même chose, le temps... Et si j'en ai plus beaucoup du temps? Et si demain était mon dernier jour ? Mon dernier repas aurait été... Rien ? Ma dernière pensée aurait été la mort ? Mon dernier geste aurait été de m'en griller une en me répétant dans la tête, " il faut que t'arrête mec, c'est pas bon pour ta santé " et je continue malgré tout à m'en griller une ! Mon dernier acte aurait été un échec, tout comme ma dernière relation...
Pour clore ce chapitre, un dernier regret... Ça serait de me poser beaucoup trop de question sans chercher à y répondre.
Au revoir mes lecteurs, ou Adieu, qui sait?
P.S.: Je suis pas du genre à me relire pour corriger les fautes. Deal with it !
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