Le pays du soleil levant.
Je dois vous avouez quelque chose, souvent, j'ai dénigré des personnes, je les ai rabaissés, m'affirmant supérieur à eux, leurs crachant au visage, les poussant dans le ravin et crier dans la foule : " Venez, venez voir cette merde que j'ai abattue ! ".
Vous voulez que j'vous dise? La merde, c'est pas lui, ni toi. C'est bel et bien moi. Trop souvent j'ai utilisés les mots comme des armes, décapitation, coup de couteaux répétitif, jusqu'à ce que tout le sang soit déverser sur le sol et moi, je brandi cette chose, ce geste comme une victoire. Comme un trophée.
C'est très rare lorsque je reconnais mes erreurs, mes défauts ou, appelez ça comme vous voulez, mais cette [...] est la plus dur à reconnaître, car je reconnais ma personne, du moins une partie. J'aime penser que le monde tourne autour de moi, que mon gros nombril est le centre du monde et que ma tête soit une plaque tectonique et que le sort du monde dépend de comment je vais bouger ma tête, soit verticalement, soit horizontalement.
Je suis un putain de narcissique, j'aime écrire et me venter, demander des avis et de dire que même les avis négatif, je les accepterai alors qu'en réalité, je vous tuerai rien que par la pensée si un avis négatif m'était donner. Un égoïste de première, bien que je sois généreux, mais je me force à l'être. Je m’efforce d'écouter les problèmes des autres pour parler des miens par la suite.
Fuir aussi est l'une de mes occupations. Lorsque je rencontre un problème, je vous fais croire que je le règle, mais en réalité, je le rend aveugle de sorte à ce qu'il ne puisse me voir et me suivre. Un amour perdu a pleurer dans mes bras, me reprochant que je ne parlais jamais de mes problèmes, que je ne partageais pas ce qui me tourmentait, de ne pas lui donner une part de responsabilité , ce jour-là, vous savez ce qu'il m'était venu en tête? Pas grand chose pour tout vous dires. Une seule réflexion m'est venu en tête ce jour-là : " Merde ".
Et vous savez ce que je lui ai répondu? Que je ne voulais pas lui mettre plus de poids qu'elle en avait déjà sur ces épaules, que je voulais gérer tout ça par moi-même. Après cette réponse, elle s'est sentie inutile, disant qu'elle ne servait à rien dans ce cas.
Je n'ai pas voulu l'embêter car je pensais pouvoir gérer ça tout seul. Je pensais pouvoir enterrer ça sans l'aide de personne. C'est personnel vous savez, c'est, c'est mon moi privé, c'est fragile, fébrile et juvénile.
Je me pense au dessus des lois, me permettant de critiquer n'importe qui, n'importe quand, avec un clavier, c'est facile... J'aimerai qu'un jour, on me pète la gueule, ça m'est jamais arriver, un jour ça arrivera et ça sera comme une sorte de délivrance, lorsque ce moment arrivera, au début, j'me chierai dessus, mais vraiment, et après... Je me lâcherai, de toute cette haine que j'ai accumulé ces derniers mois, années. Si la personne devant moi est du même niveau que moi, c'est à dire, de la merde, l’adrénaline risque de faire très mal, car ça mélangé avec de la haine, je ne sais pas si je serais capable de m'arrêter.
Au final, je ne suis pas supérieur à vous. Ni inférieur. Je suis au même niveau, car j'ai beau critiquer ce monde, je fais rien pour le changer.
Certains moments, j'ai envie de tout brûler, carte d'identité, carte SIS, ordinateur, gsm, maison, préparer ma propre mort légalement et partir dans la forêt, vivre comme un homme libre, pas comme un mouton enchainer, mais l'appel du bêle est trop fort.
Aujourd'hui, je me sens prêt à partager mon poids, avec quelqu'un, et d'accepter son aide pour enterrer ces problèmes. Ou de les accepter. Je suis prêt à accepter la peur.
Le jour où je pourrai m'affirmer supérieur à vous, c'est quand je serais sur mon lit de mort et que je fermerai les yeux avec le sourire aux lèvres. Si ça arrive, alors là, je serais supérieur, mais l'heure n'est pas à mon lit de mort, donc en attendant, je ne suis pas supérieur à vous. Vivez votre vie comme VOUS le voulez, de sortes à ne pas avoir de regrets ou du moins, de les minimiser.
Si je dois me marié un jour et que le jour du mariage, que je ne suis pas amoureux de la femme qui a dit oui à mon hypocrisie et que dans la foule, il y à la femme qui à répondu non, je n'hésiterai pas à planter le oui pour le non.
Le soleil se lève, mon ombre reprend de la couleur.
Vous voulez que j'vous dise? La merde, c'est pas lui, ni toi. C'est bel et bien moi. Trop souvent j'ai utilisés les mots comme des armes, décapitation, coup de couteaux répétitif, jusqu'à ce que tout le sang soit déverser sur le sol et moi, je brandi cette chose, ce geste comme une victoire. Comme un trophée.
C'est très rare lorsque je reconnais mes erreurs, mes défauts ou, appelez ça comme vous voulez, mais cette [...] est la plus dur à reconnaître, car je reconnais ma personne, du moins une partie. J'aime penser que le monde tourne autour de moi, que mon gros nombril est le centre du monde et que ma tête soit une plaque tectonique et que le sort du monde dépend de comment je vais bouger ma tête, soit verticalement, soit horizontalement.
Je suis un putain de narcissique, j'aime écrire et me venter, demander des avis et de dire que même les avis négatif, je les accepterai alors qu'en réalité, je vous tuerai rien que par la pensée si un avis négatif m'était donner. Un égoïste de première, bien que je sois généreux, mais je me force à l'être. Je m’efforce d'écouter les problèmes des autres pour parler des miens par la suite.
Fuir aussi est l'une de mes occupations. Lorsque je rencontre un problème, je vous fais croire que je le règle, mais en réalité, je le rend aveugle de sorte à ce qu'il ne puisse me voir et me suivre. Un amour perdu a pleurer dans mes bras, me reprochant que je ne parlais jamais de mes problèmes, que je ne partageais pas ce qui me tourmentait, de ne pas lui donner une part de responsabilité , ce jour-là, vous savez ce qu'il m'était venu en tête? Pas grand chose pour tout vous dires. Une seule réflexion m'est venu en tête ce jour-là : " Merde ".
Et vous savez ce que je lui ai répondu? Que je ne voulais pas lui mettre plus de poids qu'elle en avait déjà sur ces épaules, que je voulais gérer tout ça par moi-même. Après cette réponse, elle s'est sentie inutile, disant qu'elle ne servait à rien dans ce cas.
Je n'ai pas voulu l'embêter car je pensais pouvoir gérer ça tout seul. Je pensais pouvoir enterrer ça sans l'aide de personne. C'est personnel vous savez, c'est, c'est mon moi privé, c'est fragile, fébrile et juvénile.
Je me pense au dessus des lois, me permettant de critiquer n'importe qui, n'importe quand, avec un clavier, c'est facile... J'aimerai qu'un jour, on me pète la gueule, ça m'est jamais arriver, un jour ça arrivera et ça sera comme une sorte de délivrance, lorsque ce moment arrivera, au début, j'me chierai dessus, mais vraiment, et après... Je me lâcherai, de toute cette haine que j'ai accumulé ces derniers mois, années. Si la personne devant moi est du même niveau que moi, c'est à dire, de la merde, l’adrénaline risque de faire très mal, car ça mélangé avec de la haine, je ne sais pas si je serais capable de m'arrêter.
Au final, je ne suis pas supérieur à vous. Ni inférieur. Je suis au même niveau, car j'ai beau critiquer ce monde, je fais rien pour le changer.
Certains moments, j'ai envie de tout brûler, carte d'identité, carte SIS, ordinateur, gsm, maison, préparer ma propre mort légalement et partir dans la forêt, vivre comme un homme libre, pas comme un mouton enchainer, mais l'appel du bêle est trop fort.
Aujourd'hui, je me sens prêt à partager mon poids, avec quelqu'un, et d'accepter son aide pour enterrer ces problèmes. Ou de les accepter. Je suis prêt à accepter la peur.
Le jour où je pourrai m'affirmer supérieur à vous, c'est quand je serais sur mon lit de mort et que je fermerai les yeux avec le sourire aux lèvres. Si ça arrive, alors là, je serais supérieur, mais l'heure n'est pas à mon lit de mort, donc en attendant, je ne suis pas supérieur à vous. Vivez votre vie comme VOUS le voulez, de sortes à ne pas avoir de regrets ou du moins, de les minimiser.
Si je dois me marié un jour et que le jour du mariage, que je ne suis pas amoureux de la femme qui a dit oui à mon hypocrisie et que dans la foule, il y à la femme qui à répondu non, je n'hésiterai pas à planter le oui pour le non.
Le soleil se lève, mon ombre reprend de la couleur.
Content que tu ne t'estimes pas supérieur à moi et pour que tu me tues ou pour te pêter la gueule compte sur moi ;-) Si tu veux te libérere de ton poids, je suis là aussi! Manu
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