Up & Down
J’éprouve certaines difficulté à dormir ces jours-ci, lorsque je me décide enfin à me lever de ma chaise percée et que je vais me coucher, je reste 2-3 heures sur le dos, en position de mort, les yeux ouvert et penser à beaucoup de choses.
A quoi je pense? Là n'est pas le sujet, ni la question. Pourquoi j'y pense serait plus approprié et moins privé. Le doute à été semer il y à quelques jours et les graines commencent à germer pour en créer une plante de doute, des mauvaises herbes et cela se répand vite, trop vite. J'essaie de me rassurer en me disant que demain est un autre jour, que ça sera mieux, mais une fois se jour vécu, il était fort ressemblant à celui d'avant.
Cela fait quelques mois que je descends la pente, les mains dans les poches, musique dans les oreilles en ne me souciant pas d'où je vais. J'en ai même créer plusieurs carambolage là-dedans! Et je ne tourne même pas la tête pour voir le carnage que j'ai fais et essayer de remettre les choses dans l'ordre le plus propre possible.
La solitude... Là, en ce moment, je suis seul, pratiquement tout mes voisins dorment. Je suis seul, devant un ordinateur, à tapoter sur le clavier, laissant les pulsions de mon coeur et les ondes électriques de mes cerveau guider tout ça, je leurs fais assez confiance pour les laisser gérer seul, mais me savoir seul en ce moment me donne un frisson, mes poils s'hérissent comme si ils étaient prêt à piquer, transpercer, couper tout sur leurs passage, une vague de froid me traverse le corps et ça ne fait qu'amplifier le manque de chaleur autour de moi.
Je sais, je ne suis pas si seul que je prétend l'être, j'ai quelques amis, enfin je crois, et une famille (ou plutôt, ce qu'il en reste, la plus part sont mort pour moi), mais mon coeur est seul et chez moi, c'est ce qui me donne envie de mettre le pied devant l'autre pour avancer, marcher ou courir. Normalement, à mon âge, ça devrait être le foie ou le cerveau, mais il faut croire que je suis d'une autre époque ou trop mature pour mon âge. Je suis le genre de gars qui quand il aime et que c'est réciproque, il est motiver pour étudier, pour travailler, donner sa sueur dans du dur labeur et prendre de la valeur (rime pas voulu, ou bien si, un petit peu), mon coeur est comme l'alimentation d'un ordinateur, c'est ce qui fournis l'énergie nécessaire aux autres éléments pour fonctionner correctement et former un TOUT, ou encore le réservoir d'une voiture, le liquide précieux dedans créer une combustion qui permet à la voiture d'avancer.
J'ai fais l'erreur dans mon adolescence de vouloir chercher l'amour parfait et sérieux dés que j'ai su ce qu'"était" l'amour. Et aujourd'hui, regardez-moi, pas encore un cinquième de siècle et déjà se lamenter sur son sort, se sentir seul et autre connerie en tout genre. C'est juste foutre sa jeunesse en l'air, au lieu de ça je devrais sortir, boire des bières, rire en éclats avec une bonne bande de potes qu'on aime prendre dans nos bras quand on est bourrer car ils ont bon être que des potes, ont se marre bien et ils ont la faculté de vous faire oublier vos soucis pendant quelques instants.
Non, bien sur que non, je ne regrette pas cette adolescence, elle m'a façonner, et lorsque je me vois dans un miroir, je me souris, car je suis content de me voir comme tel, de me voir comme un gars de 19 ans sérieux, avec des cheveux gris, physiquement pas repoussant, ni attirant, mais qui moralement, dépasse la moyenne, ...
J'arrive pas à finir cet article, soit je n'y arrive pas, soit je n'en ai pas envie, en ce moment, je ne sais plus faire la différence entre quoi que ce soit. Je vais suivre le conseil d'une personne, qui soit m'a dis ça par pitié, soit car elle s’intéresse à moi, soit une illusion d'une pseudo-importance à ces yeux, que je ne devais pas aller dormir trop tard, que ça ne serait pas raisonnable. Un Octave de Whishy pourrait m'aider à m'endormir.
Ceci pourrait être mon dernier article pendant quelques moments, l'envie n'y est plus, et puis c'est le même sujet qui revient sans cesse, non seulement je me gave avec un tuyau jusqu'au fond de la gorge et j'avale la même chose, mais vous aussi.
Comme j'aime souvent le dire, à la revoyure.
Un parfait inconnu.
A quoi je pense? Là n'est pas le sujet, ni la question. Pourquoi j'y pense serait plus approprié et moins privé. Le doute à été semer il y à quelques jours et les graines commencent à germer pour en créer une plante de doute, des mauvaises herbes et cela se répand vite, trop vite. J'essaie de me rassurer en me disant que demain est un autre jour, que ça sera mieux, mais une fois se jour vécu, il était fort ressemblant à celui d'avant.
Cela fait quelques mois que je descends la pente, les mains dans les poches, musique dans les oreilles en ne me souciant pas d'où je vais. J'en ai même créer plusieurs carambolage là-dedans! Et je ne tourne même pas la tête pour voir le carnage que j'ai fais et essayer de remettre les choses dans l'ordre le plus propre possible.
La solitude... Là, en ce moment, je suis seul, pratiquement tout mes voisins dorment. Je suis seul, devant un ordinateur, à tapoter sur le clavier, laissant les pulsions de mon coeur et les ondes électriques de mes cerveau guider tout ça, je leurs fais assez confiance pour les laisser gérer seul, mais me savoir seul en ce moment me donne un frisson, mes poils s'hérissent comme si ils étaient prêt à piquer, transpercer, couper tout sur leurs passage, une vague de froid me traverse le corps et ça ne fait qu'amplifier le manque de chaleur autour de moi.
Je sais, je ne suis pas si seul que je prétend l'être, j'ai quelques amis, enfin je crois, et une famille (ou plutôt, ce qu'il en reste, la plus part sont mort pour moi), mais mon coeur est seul et chez moi, c'est ce qui me donne envie de mettre le pied devant l'autre pour avancer, marcher ou courir. Normalement, à mon âge, ça devrait être le foie ou le cerveau, mais il faut croire que je suis d'une autre époque ou trop mature pour mon âge. Je suis le genre de gars qui quand il aime et que c'est réciproque, il est motiver pour étudier, pour travailler, donner sa sueur dans du dur labeur et prendre de la valeur (rime pas voulu, ou bien si, un petit peu), mon coeur est comme l'alimentation d'un ordinateur, c'est ce qui fournis l'énergie nécessaire aux autres éléments pour fonctionner correctement et former un TOUT, ou encore le réservoir d'une voiture, le liquide précieux dedans créer une combustion qui permet à la voiture d'avancer.
J'ai fais l'erreur dans mon adolescence de vouloir chercher l'amour parfait et sérieux dés que j'ai su ce qu'"était" l'amour. Et aujourd'hui, regardez-moi, pas encore un cinquième de siècle et déjà se lamenter sur son sort, se sentir seul et autre connerie en tout genre. C'est juste foutre sa jeunesse en l'air, au lieu de ça je devrais sortir, boire des bières, rire en éclats avec une bonne bande de potes qu'on aime prendre dans nos bras quand on est bourrer car ils ont bon être que des potes, ont se marre bien et ils ont la faculté de vous faire oublier vos soucis pendant quelques instants.
Non, bien sur que non, je ne regrette pas cette adolescence, elle m'a façonner, et lorsque je me vois dans un miroir, je me souris, car je suis content de me voir comme tel, de me voir comme un gars de 19 ans sérieux, avec des cheveux gris, physiquement pas repoussant, ni attirant, mais qui moralement, dépasse la moyenne, ...
J'arrive pas à finir cet article, soit je n'y arrive pas, soit je n'en ai pas envie, en ce moment, je ne sais plus faire la différence entre quoi que ce soit. Je vais suivre le conseil d'une personne, qui soit m'a dis ça par pitié, soit car elle s’intéresse à moi, soit une illusion d'une pseudo-importance à ces yeux, que je ne devais pas aller dormir trop tard, que ça ne serait pas raisonnable. Un Octave de Whishy pourrait m'aider à m'endormir.
Ceci pourrait être mon dernier article pendant quelques moments, l'envie n'y est plus, et puis c'est le même sujet qui revient sans cesse, non seulement je me gave avec un tuyau jusqu'au fond de la gorge et j'avale la même chose, mais vous aussi.
Comme j'aime souvent le dire, à la revoyure.
Un parfait inconnu.
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| Extrait du film "The Wall" des Pink Floyd. Ils reviennent souvent comme source d'inspiration, je n'y peux rien, j'ai été bercer avec ça. |
Le début, ce sont des questions d'insomniaques. Et c'est un insomniaque soulagé par les somnifères qui te le dit. Sinon, ce sont des questions que je me posais à ton âge et ne te trouve pas donc plus mâture sans vouloir être péjoratif! Manu
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